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SEMI PET 54 4 FÊTE

Bessborough s’embar- quera pour le Canada le mot8 nrochain

Lohäres ‘Je ne peux con evoir

“honneur piurs grand que celui de re- vrésenter je Roi au dominion du. Ca- | nada et d'étre recommandé & ce poste car le r'emier ministre du Canada” Mt le romite de Bessborpugh dgns un | mesénige À ja presse canädienne.

UT “Je ns C'ararta un fref rélni AOuverneur général dans ce message

Je ferai tend! re que peux potir mé- titer la confianer que le peuple cana- dign manifeste. par la ‘recommands- ‘ion que le premier ministre à faite à mon mulet, et je m'emplolerai À pro- nouvoir jes jintéréts du peuple cana- ‘hen et du Canada.

‘Lord Bessborough compte s'embar- vuer le mois prochain pour le Canada Son. prédécesseur, le: comte Willing- don, part pour l'Inde le 3 mars.

D ———

Un gouvernement républi- cain en n Espagne

avec

Madrid Le roi Alphonse vient faire in geite politique audacieux. : offert À Guerra, l'un des ennemis 1 régime net pour'remplacer celui de Beren- er” qui a démissionné samedi. oit qu'il sauve ainsi temporairement à monarchie d'un grave danger. LE —————

Le chimase en France

Paris. ins-travuil, "0 qui-re travaillent qu'une partie ‘u temps, a-t-on.appris de source au- orisée. Le gouvernement considère rue la situation est sériéuse sans être

rave eneôre et il se prépare À y re- médier par des allocations et par de grands travaux” publics. D ———— Les évêques de Bavière et le fascisme de Hitler

Munich, Bavière. -— cteHe des huit diocèses catholiques ro- mains de Bavière (la population de Bavière est presque entièrement ca

holique) a pubjié une mise en garde

‘ontre les ‘tendances anticatholiques"” ds mouvement fasciste de Hitler. Hi:- ‘tr, voudrait remplacer la foi chré-

mme par une nouvelle philosophie, er plus d'instaurer un ordre politique ouveau, y est-il dit Aux membres ‘y clergé, il est strictement défendu de participer en quelque façon que ce

nit au mouvement national socialiste

{fasciste ). . © D D ——

: Le projet naval de la France

Rome. Le projet français de wonstruction navale apparait aux au- torités iteliennes comme une menace

| et: comme".un Joup. à Vespa

EE | _ EE PU v *

x }

. . { re vivement me rendre ‘ai lady Besmborough, dans | chptinte le nouveau |

]na tâche de former-un ca-

On |

A y a en France ‘300,000! sans compter les 1,350.- |

La Gazette offi-

DOULEURS |

|

Cenranes femmes souffrent plus ment certai n qu'un mal de tête soù-. que les autres. Souvent, sans ra:son! dain ge devrait pas bouleverser vos Les douleurs. particulières aux fem- plans Il empêche un rhume, adoucit mes peuvent être soulagées aussi -le mal de gorge et réconforte le pa- promptement que toutes autres: dou- tient qui souffre Ce. la tire et de [leurs guéries par Aspirin. Ces table:- la névraigte.

Îtes sont d'un grand secours däns pa- Quand votre tête tnt. mai quelle | reiltes circonstances et ne peuvent qu'en soit ln cause quand un rhume {nuire à votre sâänté. (Aspirin n'affec- s'est emparé de vous encore quand | te pas le coeùr vous sentez ces terribles douleurs du

Bien entendu que vous faites usagë rhumatisme, de la sciatique, du lum- {de l'Aspirin Fe r les maux de tête. bago, prenez de l'Aspirin ct vous pou- Le foula age immédiat est telle-, vez être assuré d'u réel soulagement.

ASPIRIN.

TRADE MARR REG. «“

4

r Fabriqué au Canada

EM géñéret des armées. Le général Weygand, le principal collaborateur de Foch, lui succèté comme vice-pré- sident du conseil de guerre, le géné- ‘ral Gameliri sucrèce au général Wey- gand comme. chef d'état- -major et le général Bineau devient inspecteur gé- néral des armées. 0 D D ——

d'une sBspension des} programmes na- vals de }'Italie et de la France. L'{ta-| He, assure-t-on, est toujours-prête à | continuer la trêve des armements nn- |vals jusqu'à la conclusion d'une en- tente définitive avec la France, mais elle est aussi prête à opposer à la| France un programme équivalent qu PORRRE français.

0e e—- | Le tunnel du Mort-Homme Des élections générales en | sera monument historique : Espagne

Madrid. __ Un décret du roi Alphon- se XIII rétablit les garanties consti- lutionnelles, qui étaient suspendurs depuis le 23 septembre 1923, et fixe au ler mars l'élection de nouvelles ‘Cortès, au 15 mars les élections séna- toriales. Le ‘écret lève la censure, restaure la liberté de parole, le droit de «réunicn publique. Il annonce que | le. roi inaugurera le Parlement le 25| mars.

Paris. On mande de Verdun que Île fameux tunnel construit durart la Grande Guerre par le kronprinz, ‘sous la côte de Mort-Homme, va être classé comme monument historique. Il sera |restauré et mis en état de recevoir les touristes.

Le tunnel, construit en béton, per- mit aux troupes allemandes de se re- | poser à l'abri et de préparer les-atta- {ques qui eurent lieu en 1916 sur les |pentes de“la fameuse côte.,

; | -— 2-0 BAR-LE-DUC. Un cuitivateur d'Ericela-Grande, M. Ernest Goret, ‘| vient de gagner un million àu dernier —_—— | tirage des bons de l'Eposition colo-

Paris. -- En vertu d'un décret du! niale.

président Doumergue, le maréchal Pé- | : = itain devient .chef tte toute la défense! PARIS Parmi les candidats au ‘aérienne de la France. Le maréchai, | fauteuil académique devenu .-vatant pour être plus en, mesure remplir | par suite du décès du maréchal. Jot- ses nouveaux devoirs, a démissionné fre, on cite MM. Alexandse Millerand, comme: vice-président du conseil su- | Edouard Herriot et Paul Clæudél, am- périeur de guerre et comme inspec: | bassadeur de Frarte aux Etats-Unis.

————— Dh Pétain devient chef de la défense aérienne en * France

0

Re

GER ei bin tn dd SD

aura lieu.. On mentionne surtout fom-

Li

LA _LIBERTÉ

Paris. Un peu moins de trois rhois sépârent la: France de la pro- chaine élection présidentielle. C'est en effet le 13 mai que cette élection

me candidats possibles À'la succession de M, Gaston Doumergue, M. Paul. Dourüèr, président du Sénat, et M. Aristide Briahd, ministre ‘dès Affaires étrangères. . Toutefois, l'attitude de

‘| M. Briand au cours des dernières cri-

ses ministérielles permet de penser que le ministre des Affaires étrangè- res n'est pas prêt à abandonner le poste qui le met le plus en mesure de promouvoir la cause de la paix mon- diale. On plarie-aussi des sénateurs Albert Lebrun, Albert 'Sarraud et Henri Chéron comme candidats pos- sibles: +. 1

. Ce sont le Sénat et la Chambre des députés qui, réunis en assemblée na- tionale, dans une aile du pâlais de Ver- |'sailles spécialemeh{ affectée à cet usa- ge, élisent le p de la républi- que. La majorité absolue est néces- saire à de ges Le. scrutin est uni- nominal.! Le président de l'assemblée proclame le président de la républi- que. Elu pour sept ans, le chef d'Etat est rééligihle.

L'

ARTHUR MEIGHEN ET LA RUSSIE

L’ex-premier Se situ du - Canada prédit la faillite du plan quinquennal..

Toronto. M. Arthur Meighen, an- cien premier ministre 4u Canada, a déclaré dans üne conférence donnée devant le ‘Royal Canadian Institute”, qu A pourrait jamais croire qu'au-

cune‘watign, à 4'exception de la Rus- sie, | bjuguée pendant des siècles par le despotisme, la terreur et la force, fût capable d'adopter comme son idéal la renonciation à l'individualité, au droit de propriété, aux droits privés et sociaux”.

M. Meighen a prédit que le plan quinquennal russe ferait faillite, tout en Jui concédant un succès éclatanf jusqu'à ce jour. Il est d'avis qu'il faillira par sa base même. 1 a été impossible jusqu'à maintenant de le juger de façon juste parce qu'on fixe fort arbitrairement le prix de vente et.le coût de produ£tion, La série des produits est Re et. leur qua- lité médiocre.

“La politique des Soviets, a-t-il dit, a failli et faillira dans ses motifs inavoués. Le communisme russe n'a pas été la résultante de. la ‘volonté librement exprimée du peuple russe. Il.n'a pas amélioré les conditions gé-

ynérales de la du peuple et. il p'a pas amélioré les revenus des moins payés parmi les ouvriers et les

paysans.

“Même si-je-plan-quiaqueanal russe l t, même si les revenus des

ouvriers. et. des : paysans devenaient

supérieurs à ceux des mêmes travail leurs chez les autres peuples, fi n' pas de Ganger qu'on voie les ir din pässer une pär une au communisme." M. Meighen dit que le mot d'ordre en Russie est de réaliser en, quatre ans le.plan de cinq ans. Dans la pro- duction du blé, la Russie est en avant, mais il n'en est pas de même pour les, autres produits, , Même si elle t.. dans, l'industrie comme dans la production. du. blé, elle ne, mettrait PAS, en danger les autres

| pays. Tout au plus ceux-ci sersjent-

ils. peu cas lls-n ut pas. pris, lés mesures | lités.

rajeut bien de surveiller la Russie,

at-ilidit en terminant, bien que je ne! . Féxpie: pas que. les. pays

puissent jamais tirer profit. de

engin

À

nas

Tour. homme, femme et enfant-se laissera aller occasionnellement à trop manger. Mais ne $souffrez pas de vos

rudences, C'est une, folie de le aire lorsque vous pouvez si facile- ment adoucir et tégler un estomac acide, dérangé avec uri peu de lait de Magnésie Philips.

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ramener la saveur naturelle et plai-_

sante et conserver bohne haleine. Les femmes connaissent ce qu'il fait pour ln nausée ou,le mal de, tête, Et quand les Æfants ont trop mangé, sont bilieux, constipés. ou dérangés, donnez-leur un peu de'ce même remè- de, blanc comme du lait et agréable

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sée, les brûlures d'estomac, les gaz, l'estomac acide et le mal de tête. Ils le ,xeconnaissent comme le remède par excellence. depuis plus de cinquänte ans.

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y

Anébciations fédérées des an.

ciennes élèves des cou- vents catholiques

Mme Aurélien Bélanger; présidente |

générale des Associations fédérées des anciennes élèves des couvents catho- liques du Canada, a présidé, cette se- maine, à Montréal, l'assemblée men- suelle de son bureau de direction. Les rapports des districts de Québec, de Montréal et d'Ottawa signalent une activité et un succès croissants dans les affiliations et dans le travail des amicales et des conseils de districts. A l'heure actuelle, moins de deux ans après te congrès d'organisation, qua- ‘tre-virigt-dix couvents, dont quelques- uns dans les provinces de l'Ouest, ont, affilié Jeurs associations d'anciennes, qui comptent, pour un grand nombre, de deux quatre cents membres.

Le is f vrier, le conseil du district de Moñtrégl réunirs à la.salle du Gésu les amicales du district en vue de pré- parer le congrès biennal qui sera tenu à Ottawa les 27, 28, 29 et 30 juin pro- chain. Il y aura conférence et dis- cussion. ù

Mlle Clotilde Mathys, présidente du comité d'art chrétien et de propagan- de liturgique, n'attend qu'une réponse définitive du Rév. Dom Gaspard Le- febvre, célèbre bénédictin, pour an- nonCer les dates des semaines litur- giques, qui sont à s'organiser sous les’ auspices des associations fédérées, en- tre autres à Ottawa, 8e tiendra le premier de ces remarquables événe- "ments.

Mile Geargette Laisÿe, présiden:à des comités dés cercles d'étude, an- nonce le: bon, fonctionnement de. son comité et J'organisation de plusieurs nouveaux cercles dans les amicales.

Deux . délibérations importantes sont consignées aux procès-verbaux. L'une exprime la satisfaction ét l'or- gueil qu'a produit, chez les Canadien; nes françaises, la publication de-ia

récente eneyclighe sur:je mariage, 14 |. soumission entière des amicales aux

principes qu'elle. expose, leur désir de les directions qu'elle donne.

L'aytre délibération, qui s elle aussi, de l'encyclique, me

LA

‘| ces auront lieu à Ottawa du 2

.

coopérer pratiquement à la difusion

question de l'opportunité et de la pos- 3ibilité d'organiser un boycottage efti- zaAGe contre les vues animées qui re- 2résentent

le divorce “sous des cot- ‘eurs attrayantes ou comme un insti- ‘ution désirable ou aeceptable dans | ertaines circonstances de la vie.

F ÉD 2— —.

Travaux du CN R.

Depuis que. le programme d'hiver des travaux du Canadien

lans l'Ouest a été annoncé, #n total

le 85.5 milles de voies ont posées, ll en reste encoré milles pour ‘ompléter ee programme. , chemin

le fer demande actuellement des sou- missions pour Ia construction d'un éperôn de voie aliant de Luskarï, Al- berta, à la Gebo Coal Mine. Cet épe- ron meésurera environ 3.8 milles et

sera terminé avant le 15 septembre

de éette année. 0 20 2——

La Semaine Sociale de 1931

Montréal. - La date de la prochai- ne. Semaine social& du Canada vient d'être définitivement fixée: Les

août. . Le sujet qu'on étudtff l'Etat. Il sera traité sous di aspects: économique, social, politique, religieux. Outre les principes qui doi- vent être à la base de tout gouverne- ment, on y exposera les devoirs qui s'imposent actuellement à l'E:at cn face des grands problèmes modernes. La liste des conférenciers sera bien: tôt publiée, Elle comprend un grou- pe de hautes personnalités ecclésias- tiques et laïques, des professeurs des Universités de Québec, de Montréa) et. d'Ottawa, des représentants des or- dres religieux et du c'ergé séculier,

des écrivains et des orateurs de re-

nom,

Le comité d'organisation s'est mis À l'oeuvre et veut faire de cette Se- maine un grand succès.

LL {

contre e SCIATIQUE

l'étu- |: de, par la commission du cinéma, 1a| :

Sad Di nl Ron ER ht du 2, Tan oise A ce IX

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) æ Le mais ne folérer np tpiiement, tel ést le mot ‘d l'heure. _:

des coñcours de frañçais auxquels près ‘de 2.200 écoliers" pren-

. ne s'est jamais La. dit de clair sûr E s

: Quoi qu'il en soit, les Franco-Albertäi re dispo sont à lenfer une opération dans : gt FES ua vaincus que, faible minorità ils supt déstinés co} je sur

monton, qui, parla en français _des achèvements

et soutenir un | destiné à éclairer | est, ef sené, Aussi et äüssi

“Aire qe de coerars ent éshie

Cardinal LAVIGERIE.

4

RTS COMPATRIOTES DE L'ALBERTA |

221

l

“Di soleil à on Xine le rvelllense de nt ceet limpide qui communique aux'êtres Je bonb&ur de vivre, Voili qui aurait pu syffine à rendre inoubliable à nôs compa- iriotes Wbertains leur congres de février 1931. Mais il y éul bie n dava{age. L'onseotait circuler, datis 4outtes les délibéra- tions, l'espok oui longs rayons qui luij devant le voyageur: fier d'une prémié FX Élu pe. qui va entre prendre la suivante. Ceux Qui pouvaient ar des cräfrites. sur avenir: de nos frères de “bas peuvent étre sasurés |

; I serait témérairN de formuler un jugement catégotiqué sur les 10,000 Canodiede français que compte aujourd'hui l'Alberta. d'aprés le spectaële que: nous ont donrié un peu plus de cent congressistes, mais préKndre que ces tongressistes venus de tous lex Ectitres français de vette province (dont plusieurs très rex cuté s) ne reflétaient pas, d'une façon Targe et consolante, , [les aspirations, les ambitioifs légitimes de la grande partie “di dette , popul.: tion serait de fait d'une sagesse un peu courte, : Ce qui assure Lésattt d'une minorité, c'est en somme une minorité

|

de cette minorné, di moment frelle est agissante et unanime | sur les objectifs, à atteindre. 1 ctait devant nous, ce noyau d'hommes de loyauté et de dessein fermes, animés de Ha volonté de survivre coûte que coûte, et soutenus par. les groupes non moins décidés, qui les avaient envoyés à ces assises. Plusieurs gvaient reel des instructions précises de leur ceré lé; d'autrés éjaient porteurs de messages de résolutions qui furent soumis à lasse mblée. La discussion se nraintint toujoars à Wh niveau trés éle vé, d'oir étaient bannies Les phrases et s'aceusuif Le Besoin d'être clair et pratique. Les légués sont repartis, préts à aliser le programme |. tracé, à vivifier chacune des"ccllules qui composent cet orgu- “mise, VAS CE. A Desdéfaillances pourront se produire, c'est lumain. J'y aura des divergences, peut-être des rivalités, c'est ipévitable et à cerlains égards. désirable, car, dans toute associa- Ni leës individus se partagent instinctivement selon des äffinités de tempérame nf qu'il serait oise ux de méconnaitre. C'est par cgtte conc urre Hi e légitime des sentiments, des idées et des méthodes que précise le caractère d'une race, que s'aceroil sa vigueur c{ sa force de résistance.

è

* * *

L'A, CG. A ne s'occupe pas, exclusivement, comme notre” Association d'Education, de questions d'enseignement; .tlle sur- ve ille d'une façon vigilante toutes les sphères de la vie nationafe. E lle est facteur de vie sociale par les soirées et eauserics qu ‘le précohise dans chacun ses cercles pour. v | francis. Elle intervient énergiquement M riee esi menacé. Elle ne se fait pas-faute insister pour qüe nos com- patriotes soient repré sentés d'une Façon équitable” dans” les services publics, et elle y réussit. On la-voit encore à l'oeuvre Ÿ dans la collaboration qu'elle apporte àu journal la Survivance qui est, avant fout, son organe. Elle organise annuellement

mouvoir Île

sept part. Le dernier côngrès est le pre mler l'ob ait consacré. toute une journée aux questions _agricoles. C'est que nos compa- triotes de là-bas s rendent comple que, pour peu que-se pro- longe la.erise actuelle; qui est avant tout-dans l'Oûest une cerise ugricole, une revision des nréthodes de culture et de toute l'éco- nomie de la ferme s'impose. Des _agronomes ont ëté invités à. donner leur avis et on en tiendra compte. *

*

Sur uu Adtre chapitre, les délé gués ont exämirré minutien- sement les moyens à prendre pour que n'échappent pas à ceux des nôtres qui voudraient aller s'y établir, les cantons du nord ‘de la province qui seront bientôt offerts aux Solons par un acte de lu Législature albertaine. Des cultivateurs songent à y établi leurs As. De plus, l'A. C, F, A. s'efforcera d'obtenir des compagnies férroviaires des taux préférentiels identiques à ceux dont bénéficient les émigrants d'Europe, afin de permettre au Québec de déverser en Alberta une partie du surplus de sa Lay ag tic agricole qui s'évade vers les ies soit dû! Canada, Etats-Unis.

Même si l’on obteñait ces laux de faveur, nos/compatriolcs albertains 8€ heurteront sans doute au sentiment obscur et inavoy des Qiébecois qui semblen préférer l'exode aux Etats- Unis plutôt que vers l'Ouest canadièn. Considérent-ils qu'un Canadieti Français est plus perdu pour ld race à l'ouest des. grands Ines qu'il ne l'est dans ke. eus le: Rhode Island, le Massachusetts autres états? récisément parce qu il Jet qu'il ès permis def

croirè que l'opinion québécoise n'est guère l'avôr ble ä une! expansion de son influence el de sa populätion Yers eh pions

eut is

n

eux-mêines pour accroître leur vitalité; leur prés noïbre, Tenir les térres, en acquérir. d'autres TRE selon un rythme rationnel et constant; n'embpicter sur, le

Ve - 4

Signatons.” pour conclure; la démoustratibh du 1 février qui réunissait sur une même estrade, Mgr l'Archevèque d'in A à

pers à féliciter votré président, M. “4 Dr Petitclerc‘ de sa réélection coni-

À Cette. parole devrait venir plus soi-

x confins mêmes de cet *'Otfènt te PRES

is-Philippe G AGNOX.,

suit avec amour ‘ét ferveër àt se retrouve à chaque pas CHAT

MM. Louis- Phüippe le message de leur r province respective.

agnon et J. E. Laforce apportent

>

Voici quelqueg ex'raits du FREE pronoficé par M. L-P. Gagnon, repré-

sentant de l'Association ä"äucalion du Manitoba, au Congrès d'Edmgnton Nos empt untons ces notes à Ja “But. v ivanc er

“t Lacerte ne poyvoir ‘se

Far économiques, afin ‘de les -con- quérir:

Gardons nos traditions, si nous voi- lons garder notre âme française et ça- tholique. *-Une minorité qui sait vouioir,: -dit-11 en terminant, réussira dans Ses dé- marches pour la revendication de ss droits, affirmera sa volonté de survi- vre et.$e fera respecter.

M. le Dr Petitclerc remerçie, M. Gagnon des sages conseils qu'il vient d'adresser et déclare que l'A. C. F. A. continucra à suivre Le si bel exemple |” que }ui donnent leg Canadiens fran- çais du Manitoba depuis de nombreu- ses années. \

M. J.-E. Laforce

M. J-E. Läforce, représentant de Ja Société Saint-Jéan-Baptiste de Montréal et de la Société: Canado- Américaine, parle en leur nom et-nous dit qu'il apporte aux Canädiens fran- çais de l'Alberta le salut fraternel des frères de la province de Ne et des Etats-Unis.

Les Canädiens français qui éemei- rent aux Etats-Unis ont lutté comme vous pour posséder des écoles ‘où l'on enseignerait la religion catholique et la langue française. n'ont pas été vains.

- Une minorité qui veut agir ävieat la majorité qui conduit, nous dit M Laforce, après avoir cité. l'exelple des Canadiens français de la ville ‘de- Manchester qui, depuis 1916, a tou- jours un Canadien français corb- me maire,

L'orateur dépeint, ensuite," en da. ques mots, la crise lamentable qui sé- vit dans la Nouvelle- Angleterre.

Dans plusieur$ villes : américaines les logis sont vides parce que les ma: 0 pufactures qui faisaient vivre la po- pulation qui ‘demeurait dans ces maj- sons. ont fermé leurs portes. se ©? | Beaucoup de “à Caradiens songent à revenir au a, et même, à s'é- täblir sur des terses de l'Ouést. Mais ils n'ont pas assez d'argent pour payer les dépenses d'un voyage. Ns pénsent à vous,, cependant. C'est “pourguai, Je M. Laforce, édrivez-lèur et dites-leur que vous ferez toùt ce qui est humainement possible pour les ‘aider.

S'inspirant d'une pensée Louis Hémon: “Au pays de Québec, rien ne change”, M. Laforce déclare que Ia viéfie province contiriuëe r, com- me dans le passé, pour ‘favoriser le développeïnent des intérêts pays.

La Société Saiht-Jéañ- Baptiste de Moñtréal à totijours surveitfé, ‘avec soin, lès intérêts des Caradièfis frân- éäis, disséniinés dtix tustre' Coitis “du. Dominion. On pet En trouver la preuve. däns patoles Protésta- |: tiohs qu'elle à fait entendre en Léftai- nes citconâtances, plis farticuiére- ment lors des crises scoldirés di Nou- véau-Brunswick, du Manitôbä, Saskatchéwan ‘et de l'Albèréa.'

dit, s'est exeusé de rendre en Alberta. Je crois qu'il a eu tort de substituer ma présence à la sienne, ce soir. Cependant, ‘je suis heureux d'avoir l'opportunité de’ vous féliciter et vous renterciér pour le bel exemple que xOus avez donné au Manitoba, pen- dant ce congrès qui est sur Je point de se termiher. Je tiens particulière-

me président de l'A. CF. À. Et je su'a persuadé que le nouvel exécutif qu'on Jui # choisi saura le secônder ét Vappuyer: dans tout son travhil.

_J'hi admiré le bel esprit de travail qui a présidé à tautes les séances de votre congrès

A n on retour au Manitoba, je ra- cohterai aux miens tout ce, que j'ai vu et entèêndu. Et je suis convaincu que leur 4dmirätion pour leurs frères albertains sera décupléé. L

M. Gagnon fait remarquer qu'au. Manitoba et en Alberta, .on a la mé- me volonté et la fierté de travailler “ourageusement dans le sens de nos traditions.

Ÿ Le

Après quelques considérations sur les activités de l'Association d'Educa- tion des Canadiens français du Man} ‘oba, M. Gagnon développe ühe pen- sée du discours de Mgr HBreynat: “Pour résister, il faut vouloir et. vou- loir sincèrement”.

Le caractère

Ce qui rend'ün peuple puissant, ce et pas son intelligence, mais soù

raractère, C'est donc par la ‘persé- vérance ‘et. la prudence que nous arri- verons au but proposé.

‘Rome’ et Ja Grèce on vaincu l'Asie par des svertus"”, disait Lacordaire.

vent à esprit, en pr ficultés à surmonter.

Si nous voulons parvenir au but noûs éêt proposé. faut âvofr du ractère. I! faut offrir des Has à de continuité et d’ d'intensité dans l'ac- tion.

Avec Maurice Barrès, l'orateur se deñande si la jeunesse, si toùs ont les ferménts généreux qui poussent à l'ac- tion et à În détermination de vaiñcre.

Education de la volonté

Une. éducation de la volonté, s'im- pose, dit-il. A l'instar des petits, Spartiates, de l'anctenne Grèce, nous devons pénétrer nos’ eüfants de discl pline, leur _insuffler - -dans l'Ame un cdrage plus & gränd, capablé de résis- ter sous le PR des pressions exté- rieures. |

Ayons le co ments de les fairè | sur tous. Îes

ésence des dif- ei à :

e de voir dos ue

aie à ES 5 de

peur de nou läncér à l'assaut de

LA SFUATION de a ‘(betmiiile A nice) -

ers, au: cours de crise

het po #" publics, la protection à la-

ligrolent geatr dress. in. qd : ns convenir qu'on. leur

Tde Montréal.

‘t'on t'àpercoit rien à d'forizon de na-

À Che mdtrmrgeeipes pour éviter üné sûr-

À ty incertitudes que des proféiseurs œa-

biens ne faut. pas “négliger Le: gene dans la vie due Dieu Lama entend prie

Henri É ner ren

réconstruction s est pourauiyi âvec un {succès extraordinaire. Si le pays est surtout ue {dans une proportion de 72%), l'industrie y est, également aésez Beionpie. Dans la production du inc, par exemble, la Pologne ,oc- cupe ja troisième Place après. Îes Etats-Unis et la Belgique. Ses puits de: pétrole extraient 800,000 Luc par‘an. se: Dans le domaine de l'instruction, on a marché à pas de géant depuis la guerre; 6,200 écoles môodernes”ont été fondées dahs l'ancienne Pologne alle- mande et l'on a formé des armées de professeurs. Le nombre des écoles secondaires a été doublé, les univer- Sités sont passées de deux. A cinq et a population scolaire est montée de

t

Me CH Vauite, Gi Ale: ces | Atiance Frédpéte

|

M la production .se matipie pat | 20 ou. Par 20? t

"Nôtre marché le plus ‘atantageux |. püur vente de nos animaux était éélui des États-Ufis. I nous est maintenant à peu prés fermé par des | droits de douane presque prohibitifs.

l'année 1928-29, nous y expé-

prés de 280,000 têtes de bêtes

En 1929.30"-tetté exporta-

on tombait à 88.000. têtes, par la

suit du nouveau tarif américain qui

-entrait èn. Viguëur en juin ou juillet,

ét. dépuis cette époque l'expédition de

nos animaux véêrs,le sud continue À décliner.

T1 nous reste, ñ est vrai 'le pr angläfs. Il ne semble pas are Hi) ftant pour nous. Les, f : ve bourg Et Liverpool Constituent un sérieux obstacle à une exportation avantageuse; et il.sè produit, au cours d'un voyäge qui dure deux ou trois #emaiges, une perte de poids appré- à A ‘ui entraîne üne diminution

"use du prix de vente.

ous avons À lutter sur ce marché avéc l'Argentine, l'Australie, la Nou- velle-Zélande et Jhutres pays à cli- Mäts fempérés, les animaux, le plüé soufeñt, réstent dehors tout l'hi- ver et peuvent &fre mis sur les mar. chés européens à un prix moindre que les nôtres, dént l'hivernage coûte cher.

ÇCe’sont des problèmes qui va- lent la peine_ d'être étudiés avant de, précipitef hos fermiers vers un genre de culture qui pourrait bien leur cau- ser des déceptions cuisantes.

Le ‘marché Anglais, pour le mo- meñt, n’existe pratiquement pas pour tidus, et c'est juste ‘si, en 1930, 5,200 têtes d'animaux y fürent éxpédiées Ce. marché fut, il est vrai, plus important, il y a quelques années, et en 1925, nous y expédiâmes. + |'près de 53,000 bêtes à cornes; mais les fermiers de POüest se souviennent en- coré des bas prix qu'ils reçurent pour “éurs animaux à cette époque. C’ à-dire que marché anglais, à caüs ‘de éirconstancés Incôntrôlables, rie “ous à jamnfs valu jüsqu'ici dés prix rérhunérateurs pour ños ahimaux, et

LA POLOGNE

. Les habitués des soirées de r Allidé- ce Française ont eu le plaisir d'enten- die, vendredi. ‘une fort intéressante, éduserie sur la Pologne. Le conférén- cier n'était nûtre que M°S.-L. Zwolskli, Consul de Pologne À Winnipeg, qui a traité son sujet avec beaucoup desoin et dans un fran très pur‘ È

Comme l'a râppelé M. ke professeur W.-F. Osborne en présentant. l'orn- teur, les connhissantes de la plupart d'entre nous sur ce lointain pays sont ‘assez ‘rudimentaires, Nous savons qu'il possède des femmes remarqgya bles par leur beauté, une arlatoccatié 66% à 95% du total des enfants. ; !

ès distinguée, une_ population _fon-|. La Pologne -est aussi un pays de tourisme remarquable par ses riches ses artistiques. A l'aide de projec- tions lumineuses, le conférencier en, : donné une excellente idée. En nant, il a affirmé qüe sa

pacifique, mais qu'elle se défex à quañd on l'attaque., Ayant ) y liberté au prix de grand ssac es,

elle ‘est décidée à garder. : «M. JE. Collon a rémercié de contt- renèler. + : Un programme musical en mn harmonie avètc le sujet de la parue nous, a procuré l'ayantage de goûter le charme de la misique et des chats pôlonais en applaudissänt Miles West- lacke (piano) et Troniak # Mme Wiensak.°

à

litiques en re Pologne et la France ont toujours êté’ très étroites. Ceux qui ont eu l'av d'entendre M. Zwolski,-auront maint t quelques données plus précises et leùrs sympa- thies” pour la ration poldhatgec u'eb seront que plus Vives. ETS

Le conférencier a donné un bref aperçu de l'histoire de la Polgne, dont l'origine remonte au 6 siècle. Sous la dynastie. des’ Jagelions, qui régna jusqu'en ‘1572, les frontières s'étendirent considéräblement. La na- tion polonaise brilla d'un grand éclat au XVIIe sièclé avec Sobieski, le vain- queur des Turcs. Êllé se distinguait des autres Etats par une constitution démocratique et sa royauté élective. Mais elle était entourée de p ri- vaüx autocratés dônt elle defäït (bien- tot devenir la proie. Elle cümmit l'imprudénee de se désarmer, croyant ainsi écarter les attaques de ses enne- mis, et c’est ce qui entraîna sa ruine. premier partäge de la Pologne en- tre Rüssfe, l'Autriche èt la Prusse eut lieu en 1772; les éfforts héroïques du patriote Kosciusko ne purent :em- pêcher uh autre démembrement en 4793. La Pologne cessa alors d'exis- ter comte pays fhdépendant, mails nation polonaise n'était pas détrisite. Elle. n'äcreptà ‘jamais la division et ne cessa de ibm D va reconquérir sa liberté

À fin de la grande guerre, en 1918, la Pologne a regagné son. indé- pendance. Le territoire qui lui a eté concédé ne rep te que la moitié de cetüi d'avant Je‘pârtage. Elle for- me cependant aujourd'hui un grand pays de 31 millions d'habitants, Elle possède Un port libre sur la mer Baj- tique, Dañtzig, qui a repris son rôle d'autrefois et se développe très rapi-

Le R. P. ou,

Le R, P, Hénri nr Lsègie, QU. à an- cien professèur à l'Université d'Ott wa ét äu Grahd Sémiiré, et leurs années professeur au $ Cat des RR. PP. Oblats à est parti tes jours derhietf ETS id trer en France, gon pays natäl, où" continuera enseignement de. la: logie dogmatique dans le: de la Congrégation en

Le Père Lacoste est bien connu l'Ouest.‘ 1] est en. 1863 dabs:le: cèse de Viviers, France. Di ft mt fession religieuse en 1883 et; ) donné prêtre en 1888. 11 a fait études théologiques à Rome Lg tint tous les titres de docteur. obédience l'envoyait ensuite à ] versité d'Ottawa {1 enséigns dant plusieurs années. Il fut professeur au Grand Séminaire taws; - È ï 11 partit ensuite pour l'Ouest,

ture à modifier cét état de choses, à ‘moins que ce ne’ soit l'expédition par le cffémin de fer de la Baie d'Hudson qu n'est encore: Les l'état at rience. Ce qui est vrai dés bêtes à cornes est également vrai du marché ‘des pôres. C'est le seul qui, jusqu'à pré- sent, ait échappé à la dégringolade Bétiéräle dés prix. La raison en est qüe nus n'exportons pas. Le mär- ché locai suffit à absorber la produc- tion, miäls dt moment nous urons À exporter, nos &sbisteroné. sans au- |: - £un doute à effondrément des prix, et ceci ñe tardera pas, Parce que nos fermiers be ‘4 Ar bonne teh s ‘inarchés, ‘dalle à cet éle- vage, dite année, une place spéciale. Les prix reçus par nos fermiers par la vente üe leurs veufs, leurs vo laîlles ou de leur beurre sont déjà cen- sidérés comme-thférieurs fu coût de la production. Que seront ces prix < si le -de-1a-proëüctior 4 mente rablemeñt? : = "Aux Etäts-Uïls, le département d'agriculture a jüé bôn. pousser un cri d'Alarme, et d'iviter..les fer- miers à réduire le nombre de leufs

n-dañgereuse. C'est cause de ces riombre

‘Sricultürk, ét hotammint le doyén du Colège d'Agricuitare d'Edmontoi, re-

L serait da ES vcéséion (ant ra me me

| Trares les Caires +

2 tr mano ol cf

sacerdotal et nous nulle- ; ment de son succès auprès des âmes ‘qi lui seront confiées. Nous félici- tons: Mine veuve Roy, sa mère, Mlle Eoïn Roy, sa petlle sôeur, et M

DORE A PR Le von Dieu continue verser nes boréeur.

dans nôs fainilles - Cinq “houvesux petits chrétiens sont venus bette semaine enrichir notre paroisse. . Ce sont: . *Joneph-Gérerd-Marcel . Roqui, en- fânt de Félix Raque et Marie-Loul- se Dalgnault, baptisé le 10 février. { Aristide Hébert; marraine. te Roque. ] Yvonne Lorette Tétrault, en- : fant David Tétrault et d'Albina Gauthier, baptisée le 11 février. Par- tin, et marrgine: Félix Tétrault et | Aïbertine Noitagdeau, oncle et tante ‘de l'enfant.

:. . CHENES

+ ‘8 LA .

Nous remercions. vivement la Li- berté de son beau calendrier. Les an- ciens y reconnaissent des ancêtres. Ces portraits réveillent tput un passé £ ux et nous-reportent plusieurs

éei en arrière, nous invitent °à imiter nos ancêtres qui, comme-tious actuellement, ont traversé de pénibles crises, rüaié mieux que nous ont su subir avec vaillance ces moments dif- ficiles. Pourquoi? Ils avaient l'Ame

fortement cheviliée au corps. .. L) : «Tous, les ma nous nous rendons

en grand nombre À la modeste cha- pelle de notre couvent, pour y enten- dre la sainte messer-<€e-eu est pour nous un stage entre le ciel et la‘térre. Notre Soeur directrice, aux grandes fêtes, déploie le charme saisissant de son talent -et fait jaillir de l’imstru-

dent jes sons graves, les diminuendos d'ine douceur infinie, que suivent les jolieË\yoix de nos jeunes filles. Nous les remèrcions de tout notre coeur de leur beau èhuant. a.

SAINT-LEON

Nous avons donc eu hotre soirée de cartes au profit de l'église et elle a été un succès. Les jeunes gens Lont organisée ont fait tout leur ble pour !a faire réussir et ils ont nl d'être satisfaits. Une belle témpé Lure les a favorisés, et si les chemins n'étaient pas des plus attrayants, ils permettaient du moins aux automo-

Joseph-Anatole-Paul Côté, aus Hervé Côté et de Clara Michaud) baptisé 14 février. Parrain, Ana- ‘tole Côté, oncle de l'enfant; marrai- me, Antoinette COt6, sa soeur.

Matle-Laura Rachel Cilouthier, en- fant de Joseph Clouthier et de Marie- Louise Gagnon, baptisée. le 15 février Pérrain et marralne, Eugène Perron et Rache] Anctil, oncle et tante.

‘Le. poète chantait: Seigneur. préservez-moi, | ceux que j'aime. Frères, parents, pois, et mes enne-

"mis même Dans le mal triomphant. De jamais avoir, Seigneur, l'été sans fleurs merveilles

Le cage fans 0 oiseau” la ruche ù a

préservez

abéilles, biles de circuler. C'est ce qui'-nous

Le maison sinFnfénts! a valu le plaisir de voir à cette’soirée

L Les “maisons vides” sont rares|M. l'abbé Senez et M. l'abbé Poitras, dhes pous! ;. et tout un groupe de courageux’ amis

de Somerset et d'ailleurs. Il y eut 26 tables, Un lunch succulent fut servi par lés jeunes gens aidés de quelques dames. Un joli ballet (drill) de sau- vages, exécuté avec art par les petites filles de la paroisse, intéressa ensuite \ l'assemblée, ginsi que deux joliés piè- ähichie, dans notre salle parois- ie chantées, dont “Old Black Joe”. tits et grands ont pu se ré. |: Les gagnants de la partie de car- “et s'instruire en regardant se tes furent: pour les dames: he pre ‘d'intéressants films cinéma- Mme Léon Rondeau; 2ème prix, Antoinette Labossière; smstion, Mile Lucienne Gréüier. Pour les hom- mes: ler prix, M. Léon Rondeau; 2ème prix, M. Louis Labossière; consola- tion, M. Léopold Labossière. 042 -0——

. Le dimanche 1er février, M. et Mme [Isaie Phaneuf voyaient réynis autour d'eux, pour célébrer le cinquäntième anniversaire de leur mariage, leurs très’ nombreux enfants et petits-en- fants. Ce fut l'occasion d'une très charmante fête de famille dont cha-

ù Rév. Père duré à quelques pa-, : .se sont. rendus à Lorette _Pout le Congrès régionn} de l'Assocta- (ion'd'Éducation. Lis sont revenus en-

du Canadien National de connaître d'une manière ble, les beautés, les riches- ments de notre immen-|.. ous prions aussi M. Al- u, voyageur CN. KR.

remerciements, et nous revenir encore avec

. donné en jau- cun gardéra le plus. agréable souve- vier à l'école Notre-Dame des Victoi-|nir. Aux joyeux convives fut servi à res de Laurier: son heure un succulent repas: puis Grade X: Eileen Duffy, Adellne|une, belle et touchante adresse de cir-

Fradette, ; ; . constance fut lüe aux jubilaires par

Grade IX: Victorine Gamaché, AI-lieur fille Valéda: “après quoi ia ben-

bina Bonin. * jamine de leurs petits-enfants, Yvette

Grade VII: Îrène Tourand, Allie L Park. | sement, avec une gerbe de fleurs, une bourse en or, au om de tous les ne bres de la famille.

Inutile de noter que la soirée se passa on ne peut plus gaiement, mais

Grade VII: ce Berthelette. Grade VI: Margaret Harrison, Ma-

Adeline Hébert, Floren-.

__t Grade-V: Clara -Hébert,-Therosa |troP vite au gré de tous. ; - Boechers. À Aux heureux et digues jubilaires Grade IV: Mathilde Miron, Rose |nous souhaitons de tout coeur longue KGamache. | vie et bonheur mérité ‘1 Qrade ILI: Jane Furlong, Angela * ee | Herthalette. à .. FORT GARRY l Grade Il: Solange Van Humbeek,| : - Ets Dalhia Héber da? : La partie de cartes organisée par Grada I: Léo Comertin, Gustave le choeur de chant, sous la direction Miron. de M' A. Cormier, fut certainement Cours préparatoire: Florence. Rit-|un vrai succès pour Saint-Vital de

ÎTous les deux s'étaient retirés à

Phaneuf, vint leur oftrir tout gracieu- |

C dépense faite, et sans cesse ellé s'ac-

Voire pharmacie de maison

[= Parmi les remèiles domesti-

ques .courants qui devraient toujours être à portée dans vo-| tre pharmacie de maison, u-

fcun n'est plus important LE ma

J'Huile Eclectrique du Dr mas. Ses. nombreux ‘emplois ur Re : la douleur et sou- ger les malades sont connus milliers de personnes . au pays. EMployez toujours l'Huï- le Eclectrique. du Dre:Thomas pour les douleurs du-+ tis- me et de la sciatique, pour le traitement des malxdies de gor- e et de poitriré, les. rhumes, | 3 rûülures, coupures, meuririssu-

res, ‘epiôtses, etc.

SASKARCHENAN

“LEBRET

Réception en l'honneur du R. P. u + Paguette

Au retour de son voyage dans l'est du’ Canada, il, rendit visite à sa vieille mère et à sa famille, domici- liée à Montréal, R"R: P. Edouard Pa- quette, OM, éuré, était l'objet d'une cordiale et sympathique réception, de la part de ses paroissiens, dimanche soir, le 8 février, à Lebret. |

. La belle soirée, artistique . et ré- érisiies réparée par un groupe de méssi t de dames, à la salle mu- rer se de ‘localité, et à laquelle furent convoqués tous les membres de la grande famille . paroissiale, obtenu un grand succès et fut vrai- ment une fête imposante et enthou- siaste pourr-tous les assistants.

Le Rév. Père curé fut profondé- neue touché de nouveau témoi-

Mile Alma Läracquè.

‘Blais.

-LA LIBERTE Ipiagé @vstims: ét; dans une allocu- tion bien sentie, il reinercia avec émo- tion les paroissiens cette belle dé- monstration de déïicate sympathie et LT" tement Quire,. R. P. G: arte À OM, vicaire, aussi présents À la fête le F. P. G. Jeannotte, O.MI., le F P. Ph Schefter, O.M.I., le R. P.J. Léonard, OM, et le R. P. L Gau: thier, OM.

. Programme ‘dé Ia. soirée Partie de cartes, proc Fe aux vain- queurs. Chant patriotique. J Adresse française, présentée | par M J.:Z. Lafieur, ef âüresse anglaisé, pré- sentée par M. E, Grudnuski. ‘Réponse du Rév. Père curé. . Chant, “Les deux Grenadiers”, Schumann: M. J.-Rosario Paqum. Pianô,; “bôeurs chor ques. Chart, “Duo de l'ame extrait. de l'opéra “Véronique”, :dé Messager: Mile Rose Bourret et M. JR. Paquin. ‘Piano, solo, “Berceuse de Jocehn”:

LA >

de

Comédie anglaise, ‘You Are a Cuc- Ko0”. Personnages: Mmes Angus McLennan et Emile’ Decorby; Mile Mary McGarry; MM. Jos. Dbll,. Ed- ward Doll-et J-Ros. Paquin. :

Morceau de musique, orchestre. *

Déclamation, “Le du Mlle Cé- cile Longpré. Chants: ‘“Pagan. Love Song” et

“Robin Adair”: Mlle Agnès Solomon. Comédie française, ‘‘Le Cure mer- véilleuse”: élèves du Couvent. Per- sonnages: Miles Emma Lecours, Clai- re Baurret, Dora Choquette et Alice, Distribution des prix des cartes. Goûter et réveillon, aux accents des refrains de chez-nous. “O Canada”, “God Save the King*

Les chants étaient accompagnés au

‘piano par Mile Alma Larocque.

«SAINT BONIFACE

er de Mme Mme William Gladu, soeur de Riel

Mme Willi de! Louis Riel, e

m Giadu, Soeur. unique

décédée ces jours derniers à Transcon s funérailles ont eu lieu samedi à la cathé- grale de Saint-Boniface et l'inhuma- tion s'est. faite dans Je cimetière de la câthédrale.

Mme Gladu, née Eulalie Riel, née à Saint-Vital, à. l'endroit : L aujourd'hui sous le nom de rue de la Giclais. La maison en billôts elle vint au monde, qui a été maintes fois|, modifiée, exibtæ “encore. : C'est’ là. qu'elle vécut avec! ses parents et son frère Louis.

En 1879, Eulalie épousa Wi- liam Gladu et continua d'habiter la maison maternelle pendant dix ans avant d'aller à Saint-Pierre, elle vécut avec son mari pendant 85 âns.

Transcona il y a huit ans.

La défunte laissé, outre son époux: un fils, Joseph, et cinq filles: Mme Henri Vermette, Otterburne, Man.; Mme O. Aubertin, Transcona; Mme Auguste Vermette, Saint-Pierre; Ma- rie et Henriette. Elle laisse aussi un

fière, Alexandre Riel, de Saint-Vital. —— 6 DD D—

Union Nationale Française La réunion mensuelle l'U.'N. F.

qui eut lieu le 9 février, füt, comme |

précédentes, un suécès en tout int. Environ 65 membres étaient présents,

Le président nous annonça que nous continuions à’ : de 137 membres au début de: janvier, nous étions passés à 165, soit un » presque un membre par jour!

Parmi ceux-ci, Al y à déjà six memi- bres fohdateurs, tou dés Français, dont plusieurs ont fait, en plus de jeur contetution” comme ponte MObEN un doù de $10,

Depuis Noël, au-delà de $60 ont été distribués, en nature, aux Français nécessiteux, et malgré cet effort, no- me, plus. de trois fois supérieure à la

croît. é __ Une première partie de cartes, ai-

à titre d'essai, réunit au-delà de 200 personnes qui s baresné Lu qi mieux mieux.

De nombreux et très jolis prix :fu- gent remis” gratis par des - citoyens charitables, la salle fut prêtée par M. Constant, les dépenses réduites au strict minimum, ce qui permit un pro- fit net de plus de $56. ”.

L'assemblée n'oublia pas Mme J. Bourgouin qui a eu, comme chacun sait, un terrible accident, il y a un mois environ. On vota, à l’urianimité, et sans

sympathies les plus sincères. Il est ident, qu'aveun \Frénçais n’a oublié

I fut aussi act à cute aAssem- blée générale, de limiter au strict mi- nimum toute activité comn äle de l'U. N.F. Tout le monde semble être ‘d'accord que cela regarde plutô Üne organisation entièrement indépend! te, peut-être une Chambre de coï- merce française, comme celle qui fonctionne depuis de longues annéés à Montréal, et à Torontc depuis 1929,

Chevaliers de Colomb :

Pen FProvenchér, No 2450 . Notre il vient de perdre un de ses officiers dévoués. William-P vèque, intendant et président du Co- mité des divert ts, partait hier soir pour Vancouver, il a été trans- féré. par la: compagnie d'assurances Commércial Union, doût il est à l'em- ploi dépuis plusieurs arnées.. Nous

séicitoes M, Lévidue de on promo: |

tion: et lui souhaitons bon voyage et

Suit le résultat des dernières joutes: Club Millette Picard, 278; Ver- mette; 322; Bergevin, 401; Marquis,

302; Millette, 520; handicap, .395.-To- | taux: ‘108, 7 RER Pre” Club Parent, 492; Mer-

noncée nulle part, et faite uniquement

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eee Bt--tes “épautes-se

+4

+

1

“le sofr qui-descend. ;

l'absolue .bienveillance!

©t le pessimisme. . Pour eux, tout est

F. sais bien c'est la pile avrc “rob : sés blaistts : “A : Qai l'a pris par le coeur et veut que tu l'en gilles: Tu'n'aimes poinl les champs avec. leurs doux loisirs,

- Éttune comprends pas la beaulé des semuilles. : \...f

A Et tu n'admires plus les saisons voyageuses

- Qui passent devant nous én manteaux ditprés, Les moissons. dr l'été, Fautomne et séès balteuses,

Les labours rt l'éclair des faux parmi les prés.

N'importe, quelque jour, 6 papillon volagre, Tu reviendras sans doute après un, long voyage, Paisses-tu n'étre alors trop meuñtri ni trop las Tu reviendras auprés ‘dr notke vieibe: église Écouter regretlant de ne l'avoir comprise La chanson du clocher qui sonnera ton glas!...

Mphonse BOURGOIN.

VIEILUR.

= L'APOSTOLAT DES. MALADES

à FE

La ‘Bannière de: Mariéfimmacuiée* ignale À ses lecteurs que les Pères |

J'ai hr quelque part que, de toutes! les choses que nous connaissons, c'est notre ‘‘propre visage’ que nous con: najés0ns le mains. Ses traits, ses du- retés, ses grfces, ses expressions, set | Oblats de-Marie Immaculée à. Notre-, attirances, ses répulnions, ses. dou- | Dame de Lourdes de. Mont-Joli, Qué-| ceurs: ses colères, nous ne connaissons-fec, ont accepté le‘ secrétariat de Pas cela. Seuls, les autres le savent | l'‘Oeuvre de l'Apos'olat des Malades”

: Vollk pourquoi.nôus ne nous voyons | |rour le Canada.

+

pas vieillir. . Nous ne nous voyons vieillir que. pui Le “mpara A quand” nous retrouvons | nos amis d'ertfânce, et quand nous me: surohs 1? chemin qui sépare l'ancicà -dix présent visage est de çonclure:

Origine et but |

L'‘’Apostolat des Malades”, | pieuse | ion fondée-en Hollande en 1925 et ! vrigée le 5 mars 1927 dans l'oratoire de l'Abbaye des Bénédictins de Saint-

Force, alors, nous | Paul Ce Wisques, a pour but de fairè “Si lui a vieilli, donc | les malades des apôtres, par l'accep: | ‘ation, le support et l'offrande de leurs souffrances pour l'Eglise et le -bten

ne ne AQUS voyons pas Vieilir. | Mais gous nous sentons vieillir. | des Ames. Ainsi les élevant au-des- .La mémoire se perd, elle hésite | sus d'eux-mêmes, leur fait-elle trou- L'esprit s'appesantit, le brillant | ver, ‘dans -In sanctification, de leurs d'autrefois «à -disparü comme clin-| maux, leur meilleure copsolat!on. quant. | : Conditions d'adhésion Les! nerfs; se nont apaisés et l'hu. Les membres de l'‘'Apostolat” sont meur est devenue plus humaine. des personnes affligées-d'une maladie ‘On commence d'incliner yers jautre qu'un malaise passager. tienvdlliance, ce doux sourire du soir. |mité, . vieillesse, mutilation, longue * Une sorte d'indifférence a pris l'A-| maladie, etc, suffisént à y donnér me. Être ici ou là, faire ceci ou cela. | droit d'entrée. r.imporle plus guère. Il est tout simplement demandé à | On s'étonne aussi de la difficulté | ces malades: | qu on éprouve À prier, À méditer, à| 10. D'“accepter” leurs souffrances ‘réfléchir, à vouloir, à persévérer, À |de la main de Dieu;

le

tenir, 26. IBé les ‘supporter en union

Et les cheveuk! cldirsémés ont bidne/|avec ik Passiônide Nôtre- -Seigneur: chi. Ft. 2 ont diminué. Et: 3oi De les “offfir” à Dicu pour le | la puissante.du vai à fléchi. C'est | salut du monde:

Mais il ne leur est pas défendu de demander leur guérison - cependant. 46: “Envoyer son adhésion”, nom et | ave Adresse au Secrétariat.

Etl'oh se señt envahi par un incoe”:

cible besoin de paix, de repos, de. si- |: Et !a tâche pèse.

lencé, de solitude,

Pour subvenir aux frais, le Secréta- riat, confiant À !n Providence, s'en remet aux offrandeŸ volontaires des malades eux-mêmes ou de leurs pa- rents et amis. .

‘A. Foônctionsement et direction - :.

Ex retour À seb demande d'odhér, sion, le maln it, avec des*expli- cations sur l'esprit de l'oeuvre, un pes tit diplôme. avec prières, à méditer souvent pour se bien pénétrer de son rôle d'apôtre et s'entretenir dans une ferveur croissante.

Dans la suite, chaque mois. HN re #oit une sorte de lettre circulaire aps velée “Le Message” pour se fortifier dans : l'esprit de l'Apostolat et, pro- gresser ‘'ans ses/sen | de foi, de soumission, de. zèle, suivænt la Litur- gie du'temps et des.fêtes: C'est com me la visite amie qui ne cèsse d'entre- tenir le malade dans sa solitude pour jui appoîter avec les consolations - de

resté encore vaillante pour un termips ct un demi-temps. C'est le soir qui descend. Puissé-t-il descendre comme il con- vient: dans la bonté, dans la joie, dans

Car.il y a deux-manières de vieillir # Les ung viciflissent dans l'indulgen- ce souriante LR dans la confiance en°

Dieu... Len aürés homibrent dans l'égoisme

mal. Et comme pour les câbles à hautes tensions, à les appgochier, il y a péril de mort.

Vieillissens de 1 bonne manière.

| >piemtôt. nes »e chez le bon E: Ft chez lg box Dieu, c'est etes

Ma RDA nèue rapproche. de

Fm ne Aveg POUVONS; certains ‘demi | in

r+ Nous, : iehrétiens, nous ‘di: |’ + “Quel. bonheur! Je vieillis.® tomme at nous disions: :Le : Dieu n'est plus loin, Seigneur, teuves-vous pas “qu'il sera bien- tx temps de pou: no"?

Un site-choeets: au : bonheur, | cest de s'attendre à ur trop grand bénheur. -— Fontenelle.

D me semble que l'esprit. de, polis

|'onté.'

Infir- |

d'avoir lieu au Jaboratoire de la msi ù

fai Electric”, à New-York. ! Un @etit plat de verre fixé au bout d'un fil conducteur a pu, sous l'action de 14 Tr 8. F. faire cuire un bout de Paucisse, un oeuf et une pomme. De “ns, de l'eau a pou dans ce petit écipient.

Tout cela n'été vécues à l'aide d'un nouveau tube à andes courtes. |

UNE PREMIERE MORTIFICATION

Ghq jans, Fa possible? On _m'appelait /‘ Bébé”. Je vous ressem- Vais peut-être? Des cheveux blond éndré. un peu frisés, des yeux cou- leur de pervenche sombre; un peu té-

tue. et sachaït ‘‘geindre” ‘bous +: péceadille.…. srapenut bambine. l'ert-ce pas?

Ma mère, toute bonne, avaîit été 4o- ée par bon Maitre d'un moral j'al- läis diret masculin”, tant elle était courageuée, ferme, vaillante, ennemie des pleurs, des soupirs. I} faut ‘aller À travers vig, à la maÿñ du bon Dieu’, suns jamais faiblir, et son en-, fañt reçnt d'elle, héroïne du foyer. maintes leçons de courage. .

Dès que je sus comprendre le “plat- sir que l'on peut goûter à receyoir

un eadeau; à croquer un boribon, à-

feuilleter un livre, mamar m'apprit AL: mortification à faire... Oh! ce fut toute une affaire.

+ Myriam, ce jouet que vous ni- mes, eh:bien! pour faire une mortif cation: |

-— Une ‘fortification! ?

Si.vous voulez; car'les petites mortifications vous fortifieront, vous vderont à grandir en sagesse, en vo- Il faut savoir, petite fille, “don- ner” votre joujou à votre soeur.

"Et si je le ‘’prétais'' seulemen’, maman, est-ce que Ça ‘“déferait” la mortification?… |

- C’en’ serait la moitié -d“‘une".

Eh bien! eh bien! maman, je ferai” souvent ‘des ‘“moitiés” comme ra, et

. Je petit. Jésus ‘aûra bien dés choses! mêT sourit à ce, début.

tuand =, + +:

Ei

Un: soir-de fête; je reçus des: mon régal, autrefois. Un petit: quet dure longtemps. il y en à. fes | - | roses, des blancs. é’ést joh' Quel bonheur! Mais “If leçon’! me- guet- |tait. Sans m'en douter, trop occupée a dévaliécr mon pétit cornet, j'en- tènds mamän” qüi me rappelle le s4- ‘crifice.. H fallait “partager” les pr- cieux: anis avec ma grande soeur!

Mails, maman, dis-je ‘interdite.

gar ñ nelme restait qu'“‘un seul anis”, mais. Hélène est trop raisonable. Oui, elle l'est: cependant “vous él lui en donner une part. , Une, pi c'est _ trait de- “ie

de

Et, prenant, pores sd au | rofd du sac, tadt°fripé maintenant, le mal- heureux anis avec ses jolies quenot- tes; elle 16 partage en deux minuscu- les morceaux, <t, avec l'air-d'une rei- ne accordänt une faveur, offre.la pe- tite moitié aux huit ans de sa soeur s'andalisée.… *. | La. mortifitation! mon Dieu:.q

c'était simple: , jer devais: “au moin + donner J'anis_tout entier! Vous êtes olus mb vr get pas?

L Et puis, a fut le mer d'un livre. Maman saisissait au vol: les ‘véta- sidns-ai-Al'apptondie à Or Diet qui m'avait tout donné, des. petits

riens"; c'était une prétenance poür

vie de courir au Jardin: Un: jeu'aban: donné pour.me livrer à celui préféré d'Héléhe; que sais-je? Mn mère trou- me open eneu tu

Re je tournais Les feults grand

Lo:

‘Hain défaut.

LE parcé qu'il: » gr ne Tone en

\

LA LIBERTE

e livre: ant aimé, à la etes grende | | soeur ravie C'est ainsi que d'étape en étape,

1 guidés. maternetlement, fat pu, À £ginq ans, faire ie bon. coeur, quoique non sans, lutte, ma premiére mortifica- tion.

+ MYRIAM DE G.

OP Mes chers petits-enfants,

L'expérience de:chaque. jour nous difficile d'extirper une manvai- se habitude, de corriger un: vi- On se lève Le ma- tin, décidé à garder le silenèr en classe; à ne plus taguiner,su | petite: soeur, el cependant, que de manquements à enregistrer le soir! Si l'on est un brave pelit garcon, une brave petite fille, on recommence le-lende- maën avec encore - plus d'ar- deur, ét c'est ainsi que, peu à peu. l'on s'achemine vers id süc- cés final.

Vouloir se corriger de dix dé- fauts à la fois. quelle témérité surloul, quel gaspillage d'é- neraie! Au panier les lonÿs feuillets remplis de résolutions en ce débit.de carême!

Vous voulez tous faire quet- que chose noir le: Sacré-Coeur, n'est-ce pas, pelits amis? Nous allons donc prendre ensemble füne-seule résolution surdaquel- Île nous conc-ntrerons toutes os énergies: élre bons! Non

vas Dour nine semaine ou deux, mais pendant #0 jours! Alors, vous en aurez si bien pris l'hà- bilude qu'il vous f ra faire un réel effort pour.létre mé- “chants.

Séuvent vous entendez votre L'oemen désigner ainsi une bon- e paisine, un ami de la famil-

“Quel coeur d'or! IL (elle) re .v'l ane nour faire plaisir. 97 dirait que toute sa joie est de rendre service.”", Rendre ser- vice, répandre avec délicatesse Le bien aulour de,soi, la bonté n'est, nas autre. chose, Vous vouez qu'elle n'a rien d'inacces+ sible et.que l'oR peut étre bons le plus simplenient du monde. Vous en avez. d'ailleurs à cha: que instant: {out:près vous mile occasions. «1

Efforcez-vous done: pendant ces jours de -pénilence à ne froisser personne, à. être: :pa- lients avec vos pelits frères rl soenrs ape les rares aussi,

* à faire nlaisir à vossparents, æ vos: mattresses. : Une: petite nttentiôn, wne-petite prévenan- ce, un petit Sacrifice: vorlà “raie bonté pour des: petits en- fants. El tome l'on apnrécie nlntôt la façon dont une faveur est accordée quete faveur elir- méme.-soyéz ‘bons avec cellé sentillesse aimable et ce: beuu sourire qui. éclairent, réchauf: tent vendeht précieux lé: moin-

ï dre béer fait.

* #Toûs lésmiatins: dès votre 1 ré: vel renouvelez votre resolit| on pur: celle nriere: “Goeur

Cneré de Jésus: lailes que je ne {aise passer +. def aucit occasion ie: , bon ‘par

C'est ainsi, mrs pelits-en- fants, que, tout ch semant le bien autour.de Dons vous entri- chirez vos-âmes d'ocuores gré. ubles-i: l'En‘ant-Dieri-ct-0 vous disposrrez à bien jouir dos alégresses paséales, *::.

à Le GRAND.»

CARNEE | DU DU “co”!

(ohne rame. du re l'école évdècrt

faite part dela -de sa petite soeébr; Thérèse: le 5 Janvier, à ‘Grande

par de constants efforts. surveillés et

émontre combien il-est|

Coeur, Dunren, es heureux de vous{:

Le

JOYEUSÉ FÊTE!

%. ltemenue, svt vanter {aux petits amis qui féterdnt ‘leur’ an-

niversaire de naiseance cette sematne : + Conrad Préfontaine, Saint-François: Kavier,'8 ans, le le 19 février. d

“Jacques Mireault, La pau 14 ans, le 19 février. .

Laurette Lavoie; Mariapolis, 18 : ans, ke 20 février. : :

.Patrick McCarthy, La Broquerie 12 ans, le 21 février.

Paul-Emile Savard, La Broq 10 ans, le 24 février. k.

_Lps camarades dun “Coin” et Mère-Grand,

LA CHASSE DES BUFFLES

C'était vers la fi du mois d'août —- les chasseurs devaient ‘partir pour la chasse du buffle. Or, comme res Chasseurs vont au loin dans les prai-|® ries äVec leurs femmes et leurs en- fants, je m'offris pour les aecompa- gner. +. +.

La chasse se composait de cent vingt-cinq chasseurs à cheval suivis de leurs familles, conduisant envirow onze cents cliarrettés attelées la plüpart de boeufs, quelques-unes de chevaux: .

L'organisation de ces sortes de chas- se est très pittoresque.

Les chasseurs, tous à cheval, ar- més de fusils et d'un grand coutelas vendu à ceinture, marchent dévant en bon ordre. Les charrettes, condui- tes par les femmes,-les vieillards et les enfants, suivant au-petit pas gardänt une’ assez grandesdistance. Les chefs de la chasse galopent en tête, tra- cent Ainsi lè-chemin à suivre et cher- chent à découvrir les: troupeaux üe buffies: : ‘C'est une véritable organisa tion: militaire.

Quant à moi, j'avais reçu le titre de général en chef de l'expédition, et je-fermnis la marche, à cheväl sur un vigoureux coursier.

En prémière soirée-de notre dpt nous’ établimes| notre campement sur lés bords. de la rivière Pembina: en moins d'une hèure; cent: vingt à -cent trente : loges: étäient: construites, - les chevaux l'attachés aux arbres brou- taient l'herbe de la prairie, ét des fa- milles réunies prenaient leurs repas. - Les: loges sont des tentes faites avec des peaux de -buffles: leur forme

est conique, le:foyer, se place au mi-

Heu: et par de haut s'échappe la fumér. Le lendemain, au lever du jour, les quatre capitaines montaient les pre miers .à-.cheval et.ammonçaient l'heure du départ. Bientôt le village, impro: visé. la. veille, avait disparu, et les chasseurs étaient en JRAroe

- Nous martiéas atrisi depuis trois jours sahs rencontrer les buffles. Au: journée, et cornmé je dôrmais pro: fondément, j'entendis la voix du cn: vitaine:crier- mot. si terrible aux voyageurs endormis: +4

-—"LéteTeve! Wänuiskak, waniskeak!

. Tout le-monde, évelité pére cri re: doutabé est' bientét sur: pied. Dh

les femmes et les enfants Apolnt es |

charrettes, et noüs parton#: :-

Les capitaines avaient éntéhdu ies |! vieux- "boeufs, indices: certains que | fants + Fiantétrnéua erfivtionn.à 14 bands vachés:

Nos chasseurs tuèrent quelques-uns ces vieux boeufs, £e- prémettänt

Vers la fin

se

Béatrice ‘Boulet, école du Sacré ‘'halssance dé: son petit frère, Jo-

|

#%

Coëur, à. la joie de vous faire part de |

. eat à

A

! : « L À : , ; be & : rep Ro, à * x” +4 3 T4 er

L

iointain” comme Fe taches noires qui MES PETITS. EPANTS

se mouvalent,

C'était un immense: ‘troupeau’ de

‘buffles. Au mème instant, les cent vingt-cinq cavaliers passent à mes cô- tés comme ün éclair, et je me préci- pite à leur suite. - - Atrivés à deux portées de: fusil| du troupeau, les chasseurs s'arrêtent, et l€s capitaines dressent les plans” de bataille.

Les büffies que j'évaluai à deux millé “nviron, se trouvhient au centre d'une, ‘mmense prairie.

Nos chasseurs forment subitement un vaste cercle, et, au signal donné, ils se précipitent sur le troupeau.

Ce fut pendant quelques heures ure mêlée épouvantable: les buffes effa- rés cherchaient À se frayer un pas- sage à travers le réseau de feu et d'acier qui les enlacait. Le râle de céux qui expiraient se mélait aux beuglemenits de ceux qui cheréhaient à fuir et, chaque fois qu'une victime tombait, oh entendait un cri de joie parmi cette armée de chasseurs.

La moitié du troupeau avait pu s'échapper; huit cent trente buffes restérent sur le champ de bataille.

. . L]

Dans. la soirée, nous dressions nos loges au bord d'une rivière, et le len-" demain les buffles étaient dépecés et les viandes prépar L'

On fait de cette vinsde.se ‘espèces de pâtés fortement épicés et salés, qui se conservent très bien et dont ces peuples sont très friands:

H. FARAUD, Ô.M.

UN PETIT MOT...

Ma famille Dr tous les jours; il m'est très doux ée le constater. J'r'

aussi infiniment joie à retrouver |

mes petits amis de la première heure. Mérci, chers.enfants, pour la sympa- thie et la confiance que vous me té- moignez. Mère-Grand vous chérit ten

drement en retour: elle participe À

tous: vos bonheÿrs et compatit à vos moindres chagrins.

.M'ont écrit cette semaine; Rotangr Trudeau. Ile de Chênes; Blanche Mar- coux, Lorette; Aline.Nick, : Laurette |. Lavoie, .Richard Desrochers, Lucile Lavoie, Roma Desrochers, Dorà Des- nchers, Joseph Neirinck, Maria, sa Maria Préfontaine, Saint-Fra Xavier: las éièves ces gludes 4 ni 1 du Couvent de Lorette, par Léontine Landry; Léa Therrien, Lorette: st Parent, Hélène Garand, Joseph Pal- lard, . Elzéar Boulet, Gérard Laveie,

Alexandre Diofine, Adelphine Boulet

Arthur Bourke, Athanase Lavoie, Béa- trice Boulet, Aurore Gärand, Berna. dette Lévesque, Irène Fortier, Solan- ge | Garand, Gérard Boulet, école eu Sacré-Coeur, Dunrea; Rôsaire Laplan: te, Woodridge; Adèle de Rocquigny, | Haywood; Lucien Morissette, Irène Côté, Philomène Boulet, FéHx Bour- get, Solange Dionne, André Boulet, Armand Boulét,. Thérèse Roulet,

mand Garand, ‘Ernest Beauchemin,

Armand:Beauc , Clément Lavoie, frène Lavoie. Ven du Sacré-Coeur, Dunrea. |

“Ale dernière minute, m'arrive une grosse. enveloppe. de .Saint-Lupicin. Certains enfants n' ‘ont pas bien. com- is : ! du. 28. janvier.

êtes tous les petts-en. |} celte fois-ci je désire

de ceux qui m'écrir ent. À l'écale ou éturient à la maison.‘ A

bien d'étre mieux, nourris. le. lender | masure

ai Jrséé; hou ait tai vébéé du Laë dès Cygne et j3-Tub 4

Boutet, Ottvier- Garañd,- âTrs

cu, sur de te. Mère-Grand, Mais]

10.--L' et date de: naissance suis pr 4 n os cg et cor Cut

M'ECRIVENT... ‘Tangent, Alta, 25 janvier 1931 Dünne et chère Mère- d, fait b'en longtemps que ‘je ne vous ai pas écrit, mais. ce soir je décide. Le 19 janvier a eu lieu l'ouverturè de notre école. Je suis. bien contetite My aller. Voilà 2.ans % que nous n'y avons pas été. Ce n'est pas une mal- |, tresse, mais un maître que nous avons. . Nous l'aimons beaucoup; f n'est fs mauvais. C'ést sa première-annéé à .. la paroisse des Saints Martyrs Cana: * diens; autrefois, il habitait à Lebret, Sask. ae Dans notre école, il n'y a pas un tableau, pas un banc. Nous somities 28 à 30 élèves; nous avons du plaisir. . Je vais terminer ma lettre parce . que je m'endors beauçoup. Votre petite-fille, : Marie GRANGER.

LE ]

Dunrea, Man. le 23 janvier 1931 Chère Mère-Grand, , F

Je suis bien contente de l'occasion qui m'est donné _de vous écrire: Je v a s à l'école et je éeuis bien mes leçons: l'ai été voir grènd’ mère Fortief four da l'ah pour. lui souhaiter la boa- ne année. Oh! que je l'aime, ma vrand'mère! Elle a les cheveux pres- me tout blancs et de beaux grands eux,

Bonne et heureuse année et un gros aiser de votre petite-fille,

"TT" Simonne FORTIER. | Ecole Saint-Félix. L] . 1 Dunrea, Man. - : le 28 janvier 1931 ‘hère Mère-Grand, . '

Je suis très contente de vous écrire oùr.la première fois. ‘Je suis arrivée iremière de ma:classse pour les qua+.., premiers mois avec 95%, Je veux. ‘ne dépêcher pour avoir de beaux prix ..

: l'examen:

Pendant les vacances je. pouvais. .Tuët déhors ‘mais à présent, je LT ‘eux pas jouer autant “que je le. veux,”

“ar il faut que j'apprenne mes _-Jegonh!"#"

‘aidé aussi À'mes parents. J'ai neufs” uin ét je sufé dans le troisième gra

Votre petite qui vous aime beau" oup, 5 #

uc*

| Amtonts BOULE: | Ftcolé Saint-Félix. ° | .. « Saint-Léon, Man: ÿhES © _le-20 janvier 19, Bien chère Mère-Grand, J'étais bien contente quand fai: Vu sur la L'bèrté qué vous nous rappellez 7 ‘Coin des Enfants". J'accépté l'in- etes sûr, cat j'aime bien trop nôtre page, surtout _— vous écrivez. get Je continue toujours de ee + 588 vous et de communier. : Notre : tressé nous dofine souvent de

n 372 NH "a

LB 0uT

Eee A

auksi à maman. Nous avons eu notre petite séance le 17 fänvier, aurions bien aimé” 7 vous, voir. 11 ÿ àv vait quelques pièces, un*beau drame et des | J'étais dans la gymnastique, jure chant) un ballet: ueh partie 04 dan,” è P a LUSST x ments de piano. La péaics s'est À iminée vers 11 h: \'ATRTE L 2e vais vous dire. mes impresféh sur le_petit Joîre. Je trouve | ‘bien volontaire, mais en

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| LA LIBERY E

nd te if Cu (T Es Re VRP, À QU SAR - # ! TRIBUNE En Ex : || CULTIV: 4| re Le “eWheat st Po DO 4 > | , FH PE Fi D c ro jastrés, c'est-à-diré de quarante-t is pour cént Modification nécessaire H 4 4 ! de plus qü'elle n'élait œipuravant. + en Les, condilioris économiques p urrair | On a ajonté les viandes ét le lait à la pro- étre nburés: ibimporte doncid'avoi recqur} . duction du grain ei la merveille a élé accom- s'il est dans un district plus favorisé “d las et une * ir bonnes imélhodes d'exjloitation fePxiére plie. /\ pér la qualité du terrain ou peut-être | , des ea "2 , est telle expérience qu'un certain wôm-\certains avantages qui lui permettent , meill , ur produire à meilleur marché que nèus L : Pi eurs ROBT P d'hnt rene. €. NX bre d'homiiies d'affaires voudraient re préduire pe as son “strobés ap pouvons pas béndre gros prix. LL. Le b nécessaire pour l'en Ê a rs | | , , président du Parifique C anadien ü pris 2 v © Fäiré remonter les prix de vente. serai Kniliative du mouvement. 3 peau de vaches ri cute de Aéliciter ES oi der Yérginise- fédéral de l'Agriculture. Le lard se a et : ‘, Ce dén animaux. 4 tion | n générakdu du Blé, pour | vend aujourd'hui relativement moins . À désirable, mais quel cultivateur, en y méttant Vous croyons qu'il n'y.a äns les'trois| : I ya certains districts qui permet | sa'f inchise et son d prin de |cher que le bacon: c'est donc’ le porc à toute son intelligence et toute sa Dolonté, peut provies de l'Ouest de fermiers mieux placés | tent 1a culture de certains produits, |“fair\ play” qui est l'âme de e|à "bacon qui rapporte le plus au pro-| Vaches latières #40.00—$65.00. :-T ic vanter de pouvoir y réussir? *- pour faire de la culture migte que ‘ceùx de nos|et d'autres qui sont moins favorisés; | cette \organisation. ducteur. ,Les cultivateurs feraient |" Vesux és boucherte— , ] ‘paroisses He“langue fréñcaise du Manitoba. Al est entendu qu'il faut se soumettre, | Espérons, chers lecteurs, qu'à l'oc-|bien de surveiller attentivement l'alt- | Bons et de choix .’...#7.00—$9.00 .. D H en est autrement de la production: com E lent | DA il, de te ‘ei lorsque le: manque de pluie ou le cli- | casion| lorsque d'autres assemblées |mehtation des porcs pour se mettre en Ordinaires et moyens u bb EU fiéhgôns. par ‘té l'oeuvre de tlidoment ail: rccllente teXe en gtneral, eau fe an 4 mat ont contraires à nos goûts ou à | seront | lebkvoquées, les fermiers s'y |garde contre les pores trop légers ou| üres— d'excellente qualité dans le plus grand nombre} ss les... Mais ce qu'il faut con-|renéront tous 100% et qu'ils seront | excessivement gras. S'ils veulent ob-| Bacon de choix— Prime de Si par tte. Roue à de paroisses, le de Winnipeg à leurs|cture, c'est'que tous-— 100% de-|préts à| signer leurs contrats. C'est|tenir le prix le plus élevé du marché, | Bäcon : | st25 4 ,. Les journatæ de W érenti peg ont fait canmi- portes, cl de bonnèK, routes "nour l'atteindre.\vront faire quelque chose afin. d'es- | alors seulement que noùs dirons que |qu'ils évitent ces deux extrêmes. Boucbers_Rcompte de TOs pet tête || à a s: RE D. ePrcrere) #r > : | paine, depuis quélques semaines, pour pousser IL ne reste plus qu'à adqif de bons animaux el dr” : pen in OT Mr ch ste si les contrats sont} TORONTO. -— Treize : cents loups RE a .. es fermiers de est. » . Très pesants Re 5. 862 : lés fe rmiers de l'Ouëst canadien ve Fe la culture à les bien.soigner. fois en conversation que le fermier | envoyés bar la malle, chacun se, fera |ont été capturés en Ontario au cours | Lagers ét maigres $725-+$8:50 mixte. Pour encourager. Le mot vément, ils Quand on constate combien de jeunes gens. est le roi de la terre; m i, mal- l'un devoir. de s’empresser de le signet | des trois dérniers mois de 1930, d'a- |ryuies No 1 | .$6.25 . ont fait connaitre Le. progrès talisé chez nos chez nous, ont dilapidé, dans Na culture exclu-|héeureusement, la chose continue, cel et ce le| retourner sans délai, La|près des chiffres fournië par ie dépar- |rrütes No 2 | ie $6.25 voisins du Dakota et du Minnrsota depui quet- * sive du grain, de belles [ortüne“gmassées par |Rot se verra détrôné et dépourvu |chose vs lerares si rpeyihens gt jauge, A april et au met inférieurs ….#$.00—$8 00 - ques années, leurs pères dans la culture mixte ‘en he songe 4 Dir one qi ep nt fout ste e do ne préireus? Rameng quon à capturé de pl de de trie en 4 . k l A ° : n , H , n , «“ Le “Plun du Minesota” . dit ta Tribune! .. Pas sans angoïsse à ce qui peut'no arriver. | Lx "ee-bien ‘âes sncriñces et de pri |blée générkie, ou nous nous servirons | loups, soit 93. « _ |Boie, poids moyen 87.008760 Winnipeg” a fait des merveilles; il a sauvé Aurons-nous la douleur de constater dans un}|vations, luj sera enlevé. Pourquoi? | des moyens que le “Whéat Pool” nous Re - Bons, pesants ps - 86.60 dela banquerodule cette païtie des Etats-Unis. avenir plus ou moins éloigné que d'atres,' Parce que nous refusons, ou .un bon {-donne, si fermier n'est pas protégé Far Sn ue Sue. Ordinaires …$5.00—$6.00 En goi consiste ce “Plan du Minnesota} ayant appris leur leçon plus vite que nouÿ\il|nombre refuse de s'unir: À uf 1. in ste mob Lépretot . milton-ouest et dans Grenville, aux] Bélier PRÉ FA Fr . ‘* r siss A "appe sauv er- m À outons— En.ceci simplement. Une société de crédtt ne nous reste plus qu’ ‘à leur cédér la place? ss . . 6 dut 1 peng : Rs ne Dserteitition. élections de mercredi, mais les libé- Me #3:50-— #40 s'est formée pour aider les cullivateurs à char- La jeune génération, de cultivateurs saura-| Smenté. L'hümible ami des fermiers, raux out réussi à diminuer" la majo-| = poids rmudyen : Tu | ger leur culture exclusive de grain en culture t-elle comiprendte et vouloir à temps? aurquoi re pas aise Une Ydis pour | J.-C. ROY. |rité ne | dans les deut dir aires 1. #200-—9300 |

Willow Bunch, Sask.' 1931.

mixte. Le’/capital roulunt de la compagnie 15 janvier

; élait de #2,400,000. De petits préts furent faits

Nos paroisses à culture migte señlent la gêne mais sont sûres du lendemain; on ne peut

toutes, comme ceux qui dans leurs campaghes électorales criaient à

RE PONT pleins poùmons aux quatre coins, de

“aut fermiers pour leur permettre d'acheter des ‘animaux. En sir ans, ce système a produit des Késultats incroyables. Quatre cent cinquante mütte fermiers er ont profité, et ta produciton agricole a augmenté de quatre cent millions de

en dire autant des autres. Si une offre de crédit est faite qui leur permette de se procurer des animaux, elles ert “rofiteront si elles ont quel- “que souci de leur sürvivañce, Tr CULTIVATEUR.

[née 1930, et à chaque a

chaque provee: Il est:temps de chan- pe

ger (It's timeMor a change).

_Je puis vous Yire, chers lecteurs, que J'ai eu le plaiiy et la grande sa- tisfaction d'assister quatre ässem- blées du ‘“’Wheat Pobl* pendant l'an- assemblée tou-

Ne suralimentez pes

prix porte, certains cultiväteurs 4 suralimenter leurs porcs d'engrais. On le voit par! qui arriver

L'abondagce. de grair de grains de blé à bas

le poids élevé des porcs |. aujourd'hui ur le imar- |:

jaux pou! tefet vendu sous forme d'oeufs ‘en hivér fappdrte jusqu'à cinq dollars par boisseau; c'est du moins ce que | de ‘blanc, 30 pour cent de’ Jeune et 19 mous disent les experts en alimenta-|‘pour cent de coque. :

tion. Les constatations faites à 1a}- Les meilleurs oeufs-sont ceux qui

chaux ou de matière minérale. Däfis up oeuf il y a 60 pour cent

ché. Le polds idéal d'un porc pour la vente est"4é deux cents livres, déclare M. A.-A. Millah, Chef du service des moutons et des pores, Ministère,

e répète: assem-

jours la même lacune qui \ pas assez de fermieré a blées! | : Je comprends que deux années sans récoltes, ‘Cela cause bien des enns

RENSEIGNEMENTS AGRICOLES

station expérimentale fédérale de La- | sont pondus ën avril, mai et juin. ; -| Cour. norvégienne... 26.88 : Le Mérite agricole dans 14 |combe, Alta, sont spécialement :inté- Un oeuf consommé entre septembre Pr orge RAR ous AU SANG EPROUVE Couranne danoise - es 268 vi province de Québec. tessantes sous ce rapport: elles: met- | et mars vaut plus à la personne ürdi- Gtét de ‘àù Mlvet ét. da: 8 ‘ahod, et b pr Mark allemand _….. 23.89 . 238- ent vhleur du blé par boisseau aux |naire dans le climat du nord: qu'un T2 vs À Ta iCour. Rphandaie si 40.82: 402

L'Ouest vient de créer des mättré sb férmiers”, mais .la province de Qué- bec possède, depuis 41 ‘ans déjh, des concours de mérité agricole dont les

_dsuréats constituent une sorte. de nor

blesse rutale ayant sa fête annuelie |

‘hu Pariemert, Nous venons üe réce- «te belle brochure qui rappelle

bèt événement: pour 1930 et nou fait vüir, au moyen de nombreuses photo- ee les insfaltätions et les trou- des cultivateurs diplômés de ‘l'Ordre Au Mérite ‘agricole. Voilà une Püblication qui donne une haute idée des: progrès agricoles dans {a vieille deu

| 0 —— ts % £'Oatalogie de grainés de ‘semence

a

un parniôque catalogue de % 4 shôndam ent illustré, in- et ins À parcourir. és y fait ln part à peu près égate |: 2 Y légumes et. aux-plantes d'agré- ment.

y

ee On: travaille: esisemble

RL une revue de ia tendance de . d'industrie Animale en 1930, la revue de:la Division f e- de. l'industrie { . Roimale fait remarquer que la ‘deman- A de-du marché pour les veaux et les

%. ‘jéuhes boeufs gras d'un an a causé

ge on wa changement dans la production qui "re » t d'une très haute importancé-poit de l'élevage sur les ranchen.

4 pvant cette demande croissante, l'en-

des. anfmaux est essen- 1 un ouvrage pour le eul‘t-

À gg

ui

uhiftres suivants:

cochons vaut. $1.09 le’ boisseau.

la livre, le blé donné aux c $135 le boisseau; l'orge d

la livre, le blé donné aux cochons vaut $122 le bhoisseau;

* ‘|sements", déclare le Dr J.-H. Grisdale,

IV'Agriculture,

Sete:

8 wat 1 A Aa vou M. Lt se,

APRES WADE CS ET RE ee

pe ‘wa & “+ OIL JS, : w LR 3 A

oeuf qui est consommé entre avril et août.

‘Les oeufs et le lait forment ensem- ble une viande liquide dans la forme l& plus digestive et la plus assimilable,

Un oeuf qui pèse deux onces con- tient approximativement 70 calories en valeur combustible.

On a dit que l'oeuf est de la “umié. re du soleil en bouteille”. If est riche en protéines, en vitamines et en miné- raux.

Sur l'oeuf en fournit quatre: vitamines A, B, Det E. H est spécialement riche en “D”, la vitamine de la lumière du soleil.

Lorsque le pore se vend 1 à 12 sous a livre, le blé donné aux cochons vaut s148 le: boisseau;. l'orgé donnée æ:ux

Lorsque le porc se ‘vend à 11 sous s vaut aux ochons vaut 89 sous le boi Lorsque le porc se vend & 10 sous l'orge donnée aux cochons vaut 89 sous le boisseau. ‘! h Lorsque le porc se vend à 9 sous la livre, le blé donné aux cochons vaut $109 le boisseau; l'orge donnée aux rochons vaut 79 sous le boisseau.

Lorsque le porc se vend à 8 sous la livre, le blé donné aux cochons vaut 96 sous le boisseau; l'orge donnée aux cochons 70 sous le boisseau.

Lorsque le ‘porc se vend à_7 sous la livre, le blé donné aux cochons vaut 83 soûs le boisseau; J'orge donnée aux cochois vaut 60 sous le ‘boisseau.

# à :

La radio sur la ferme .

“Les renseignements peuvent être tout aussi agréables que les: divertis-

les cinq vitamines connues,

à

La culture change :

Sr Quelques observations faites en uné occasion récente par le Dr J-Æ. Booth,

Ottawa, nous montrent le .'change- ment qui s'est produit dans la cul: ture, Au Canada en,çes cinquante der: nières années. Autrefois, dit le D

l'agriculture canadienne, le cultiva- teur produisait assez pour se suffire à lui-même: c'était un f t sur june petite l'exis-

sous-ministre du Ministère fédéral de tence du! u! cultivateur dépend de, son

dans une coriférence qu'il a faite récemment à Ottawa. “La radio-est très importante en agri- culture, Les jeunés-gens, qui pren- | nent une plase’ de plus,en plus impor- | tante sur la ferme, veulent avoit des divertissements. La radio les leur fournit: elle tient en même temps le cultivateur au courant de la situation

du marché, des conditions de la tefn- |: és pérature et de tout ce qui arrive dans avec le nouveau atériel à point M , |sa localité et dans le ronde en géné- le cédé le gent.de MeC nick:D G: i [rt de ee que Ja rade mt plus Dent ramgont, 1 carre | montrera ls Touies TS oi Se leurs: el äpporte le monde entier à | #E 1e veale de tes proue rte Moporenes la inaison même du culvateur” = ' N'ES > TE rene ANNE production de n L'assortiment PEN des FRERE EE 2 ui notes st sur les oeufs |” La % re F McCormick-Deering rend: pe 4 disques

ahinnt di ds art | du Ministère fédéral de F

Gr Eat Cu LEUR lg. bo we I. bons

sa 1 produtotfos 7. des

LDaue unes de gris prete [120 douzaines d'oeuts. C

mn rad 0. se focus à 2 soude dy

fl

8 Li

* A 3.

commissaire "de l'économie agricole, |: si

Booth, dans les premiers jours - de |

aptitude: à produire des articles pout |: le marché. Ce, n'est plis un techni-

JE

de prohtér des grands avantages düe cette’ organisation, qui est toute spé- ciale pour les’ fermférs, et Qui nous doùne ja chanée” ét l'avañtage de noûs fournir des 0 bilingües que tont le monde ‘peut comprendre, ett fran-. çais et en anglais besoin.

Et à cétte occasion je me pérriets

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| et fe'M Fred Devèrne d'Otterburne,

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roue aa: balance

tua | Des corrdspondants

A LA MAISGK RAINTJORE PH

Le mari soir 11 février, le Pè: 1e

directeur nous.est revenu après up mois d'absence, mois de repos qu'il ja péssé à Argyie, Minni La balance de |

l'hôpital de Saint Boniface prouve qu'il |

2... engralasé Plusieurs livres! Visite de S. G. Mgr Prud'hommé Sa Grandeur ra prouvt une fois de

plus qu'elle aimait la Maison Saint

Joseph. . Arrivé le 31 janvier Met ._ «/Feudhomme est retourné le 6 féyrie

emportant dans pon. frand coeur te

tes. sortes de contolations. : Le ler: février, ‘dimañche apré une visite à M. le cüré de Saint-Pierre “Ce fut un voyage mémorable et plein de. péripéties", a écrit Sn G

Hi est certain que ce voyage pi

bera À lä-postérité. Une plaq # com-

jrative devrait rappeler aux rérations à venir et aux touristes « la région d'Uiterburne. l'incident disnanche ler février, survenu su bot Mn ponceau, près. de | Saint Fièvre Nord, endroit désormais his lorique et que l'on s'acharne à non mer la “ehüte À Martin“ assurer maintenant douze” ne verse jamais”?

Le Frère Hunrd *

Notre df vüué procureur, parti poyt Montréal le 22 décembre, nous revieh- dra probabtéfient dans une quinze de jours :

Htaite dés orphelins

Elle à commencé mercredi soir, 11,:pour se terminer dimanche matin par Tu COMMURIOR fébérale. Solxanie

rarndéur

école

que

cinq, gardthis ‘ont suivi les exercices | Messe

spirituels, qui furent dirigés par M l'abbé Hénéca] rêtre s

- de A parts pour suivre cette re- fraite fermée. Ljun d'eux venait de la “région de Saskatoon, Sask. Un

sueculent banquét leur fut servi di-

mänche myièi sidait.

Le Père directeur pré-

pelite bourse au Frère Joseph Pi-|‘a vocation; tendfewvers la supériorité, se, à l'âge de 74 ans. en reconndissance pour son|"ctstet; jetné à heyx et Bratjquer la auront lieu lundi à 9 h. charité} car nus faisons ipagtie d'une la fa-|face. mille dépendent de, la, jeunesse pour | pionniers manitobains dont le nombre. vivre et prospérer ou mourir et dis-| diminue graduellement.

nenult,

nd dévouement auprès d'eux. Chu- cun a tenu À sacrifier quelques sous nu profit de la future mision de Szé. pinghai (dans la Mandechourie, en Chii ne), le cher confrère se rendra au is de septembre prochain. C'est un geste qui fait réellement honneur tes jeunes gens, puisqu'il est très nnel et tout spontané.

Retraite des religieux |

Eïle commencera le 22. prochain ipour se ‘te-miner le ler mars. Elle sera dirigée par uñi Père du Collège de Saint-Bonifase,;- | Partie de FOR

| Le,5 février, environ 200 rso nnes pendant, en dépit d'une température } pe fort désagréable, une centaine de per- | Agnès F drrest, 57.

[assistaient, ‘chfés M: Savoie, à une par- tie de cartes organisée au profit de notre future église. Une température idéale favorisait amäteurs et protes-

sionpels, chez qui-se peignaient l'en- train et lasbonne humeur, En effet,

it était beau de votr la bonne entente-

t-la joie qüi régrdient dans cette réu- nion, la troisième d'une série dé*six C'est que les gens d'Otterburne ne soft. pas dés derniers quand: il s'agit ve sacrifices à faire pour procurer ‘a gloire du bôn Dieu et faciliter l'accom- Be se.uent ‘de leurs devoirs religieux ‘Es ont raison d'être fiers d'un® telle Union, et puisse-t-êlle ne jamais dimi- huer. Les oeuvres, ‘Pêtites ou gran- des, se, font par la coopération des volontés et-des coeurs. De jolis prix, dons de Mie D. Monchamp, de M. JA. nes que Page r de pom- funèbtes, = , de Mme

À rue ‘éu Dr J--A. Bélanger, de Saint-Piefte, de Mme Nap.:Lacasse

iétaient’pas pouf peu, non plus, pour stimuler l'en ‘dés :

Me NE NE LA AAE)

Les prix-pour , | par Mile pur an

|| Pierre, et Mme Joseph Larothe. Prix

Qui par | nôtre ‘Cu.

—+ le

Hémit et le mile, ile agro

aux vaincus! à« % :

ce consolstion: Mme Edoward Robi-

|\pfix de conspiatiéà, M. E. Saint-Lau- rent, Saint-Pierre. M 'Alfred-G. Grant, .

Ft c'est avec plaisir que nous re- mercions Tous ceux qui ont contribué a succès C'e cette soirée, soit par leur soit "| par leurs dont Merci aux généreux

"| donateurs des prix et 4 M. A. Savoir,

qui met sa mnison à notre disposition avec - Midi, Mgr Prud' hommes. Len à faire |

présence, soif par leur travail,

tant: de: grâce ,; Merci aussi

r'outez pas,

|les autres. dan le vide.

palais de chanceux gourmets. ? É——2-200-2

LETELLIER

‘enférence :

14 dimanche 8 février, nous avions |bile, mais montre aussi un bel esprit bonheur de posséder dans notre | sportif, donne l'exemple d'une : mileu un digne représentant de la |entente entre Anglais et Français et Compagnie de Jésus, dans l& personne | soutient la belle réputation que Letel-

du RP. Henri Schelpe, qui avait ni- rablement accepté ‘l'invitation Saint-Norbert.de J'A. C: J. C. de nous donner une conférencé.

Cercle

TA Revérend Pêre chänta la grand'-

et prononça le sermon, , Pre rant pour texte:

Depuis Noël, ée bon|Diey vous éclaire", {1 en, tira des le-|dre majeur. dévoue avec ardeur au bux]coné salutaires pour la jeuñesse qu'il |les accuëillir avec courtoisie comme rehY. des oeuvres de: saint Pur excita à pre un idéal sur de|des voisins, des fmis, et. de leur four-

nous ont laissé nos' sobre.

cision et de persévérance.

société.

La race, la paroisse,

paraitre. Soyez. donc, jeunes gens. des chevaliers portant l'épée de la vé-

rité pour: sauvegarder l'Eglise, et la mond,- Raphaël et- Robert,

patrie! j: L'impression causée par la parole

cMâude et entrainante db prédicateur vée.

faisait promettre une nombreuse as- sistance à la conférence devant avoir lieu dans ‘la soirée. Malheureuse-

merit une tempête mit obstacle à la] Mclelland et,

réalisation de cette . promesse

sonnes étaient présentes pour écoutef

avec avidité le R. P. Schelpe dévelop-

per son sujet: l'avenir de la jeunesse.

Mi Isidore Bouchard, président ‘au Cercle Saint Norbert, présenta en ter. mes heureux le conférencier.

Le distingué visiteur nous fit com-

prendre pär des exemples que l'avenir,

on le fait soi-même, en se fixant un j

but, ét en le poursuivant envers et ébntre tout: Clovis, saint Rémi, Jean- ne d'Ard, Montalembeit: Ozanam, Dollard des Ormeaux, Madeleine de Verchères, sont des exemples de jeu- nes gens qui ont voulu et-qui ont agi.

Une condition essentielle pour réus- sir c'est la conservation de la frat-

cheur d'âme, la pureté, Lo “ephoblit,

l'âme des jeunes et. les e'-vers les sommets. |

De nôs jours, irflut Aussi une flexi- bilité intellectuelle, afin de diriger nos efforts dans un sens pratique, et l'étu- de de la religion afin d'appuyef notre action sur une base inébranlable: il faut, de plus, de la réflexion et de la persévérance.

Gloire aux FRORerS, bosnier

LM: Honèré /Véringtté et [Toussaynt Carrière, d'Otterburne, ot. | décroctié 1a paline pour Véd hémiges:

Prix de présence :

C] tous ceux qui ont coopéré à faire-un succès du concours de tir organisé par M Alphonse Saînt-Matrs. Là, n'en plusieurs bons tireurs à | [li cible ont rivalisé d'adresse à met- {tre le plomb, les uns dans le blanc. Quoi qû'il een soit, au delà de trente roitelets du : | poutailter ont servir à délecter Je

du

“Que lumière de | mise, sans doute pour des raisons d'or.

n êé- ce . hs ph notre Pape plo;a le manque de sérieux. chez es |tard! sunes qui fait qu'ils manquent de dé- Pour réus- sir dans la vie, le jeune homme doit:|uné Les anciens ‘ont présenté une |“’'efforcer à devenir un expert. dans | M. Joseph Harrtison, de cette parois-

‘81 les jeunes d'aujourd'hui savaient ep

ir ART 0 { L2 : | . ct ; : ÿ # * { F” . . es | Vs : : . D \idet PANES } Pts SES, l Der a , | …. \ S î | AA N2 or A * é L ll \ ! } , P " É Le hit Ë | \ | | 2 ; da . $ +, « , AT \ , À ——— \ n

D. DE E LOURDES |

Fête-de Taille.

- | partement d'éducation. . 11 résume ça - quelques mots bien appropriés. les |

Placez votre argent en ‘sûreté |

à en voirs des commissaires, des institu- k , Can C'est bien ainsi que l'on dut aphe- teurs ét des ifatitutricés. Il exhorta a : deess PT or ler la fête. du 5 courant, organisée 4 todtes les pertünnes présentes à malt. __.: $ 4% qui me y agp ee par la section des jeunes de la. Cham. - tenir. l'atiéorité, de ces derniers et X ne nait de mme” Soutagement | | vre. de ‘Commerce, dans is rie) È 7." + [eur fournir toûtes les armes nécés- Saranti pour la Valeur de $1 ou argent paroissiale. | «aires pour do er à leurs enfants une nr Point de drogues n | + ot eu de, toule dates Sducation saine “et !religieuse. partout. 250 personnes que le R. P. Antoine, L Après” avoir: décidé que la convén- n

En ; tion de 1932 serait tenue à Sairt- | Jean-Baptiste, on procéda à l'élection TFousiles jours, nous apprenons des officiers pour prochain terme. !

Fut. élu président, M. Narcisse Hfe- que dès gens ont perdu touNeur ton; na rernt M: “Je. pris argent parce qu'ils l'ont tenu dans

secrétäire, M. Léon Bruyète. Les di- un endroit peu sùr confié à, ‘| r®eteurs choisis furent MM. Ciareïce des personnes ‘peu fiables.

7 2m om ol

rs d'étoufier, avait consenti. à présider cette F re ‘2 fête, prononçga l'allocation: d'ouver- ture.° J1 dit que la section des jeu- nes, par ses (ours du sir et don pro-

Sask., rémplicsait cette fonction au- près de son beau-frère:

Les nouveaux époux nous quittèrent sur le train du soir pour la Saskat- chewan. #, Ÿ Fe avec son 38ème ann

Nos félicitations, nos meilleurs] : voeux de santé, nue à et prospérité.

Moore, J.-B. Ayotte“et-J.-W. Storm.

| : Le président, M. Breton, fit uné brève aïllocutiéñ. 1] remercia en par- ticulier le Rév. Frère Joseph et M. Clarence Moore d'être venus contris_

La Ne gardez pas votre argent sur vous, dans voire maison ou votre

re. ; ?1. Henri Bruyère, après avoir re- |’

mercié R\P! Antoine, M! : magasin, .il est exposé au vol buer au-plein succès de cette cœven: vi Wime Albert «-Comeault, de passage | Arthur Johnston, président.de la sec- ; et au feu. tion. à Létellier depuis quelque temps, estition des jeunes de ‘lhôte "?

. Places-le dahs une succursale de cette banque au .. SAINT- r-NORBERT

. yous pouvez toujours ner ea vous , Tableau d'écane ds 3 de PRES à l'école

en besoir. ‘. \ ;_ des garçons

Roval Bank Grade XI: Excellence, Willie Wil- jf C a na da | son; diligence, Willie Wilson; hon-

neurs, Emile Regis.

Grade’ X: Excellenge, Leonard Wil- son; ‘diligence, Noël re honneurs,

‘retournée à Mme

Saint Lazare; Noël Houle,

sa mère, | d'honneur en cette” circonstance. n l'accompagne. lui souhaits la plus cordiale bienve- . nue, Soulignänt fort à prôpos le fait

Mme Léon Bruyère et sa fille Fer-' qhe s9 Visite chez nous devait é0ps0- gente sont de retour aprèe un séjour |jiger le lien d'aïiitié noué entre les d'un mois dans la province de Québec. 4, organisations il :ÿ a deux ans: Gouret 11 ajouts que c'était bièn dans-un te)

Notre équipe de gouret a réalisé | rit que fes Pères de la Confédére- ses ambitigns en gagnant da COUbe|tj6n avaient signé le paête par Jéquel, Shea, «emblème du championnat de ‘a les deux grandes races, française et Ligue Internationalé"en battant Emer- ânglaise, devaient unir leurs efforts

l

sp 5-0 dans ja première parte et en|.n vue de_faire du” Canada un pays! ! 23 discours .de MM. Deroche .et | du Couvent, -Cinq jeunes filles, toutes Aimé Bibeai- conservant” cet avéntage dans la rospère. IT dit ensuite comment la Johnstén nous intéressèrent beaucoup. pensionnaires, eurent le bonheur de se Grade IX: Excellence, Joseph Mo- deuxième partie, dont le résultat fut Lise des jeunes avait été inaugu- M. Bruyère remercia les uns et les |conèacrer äù service de Marie Imma-| reau; diligence, Mike Zemla: hon-

autres pour léurs souheits, ainsi que pôür l'aide apportée pour le succès de cette fête.

Les membres ont reg retté l'absence du: Dr Galliat, leur, président d’han- neur, _appelé au dehors.

eee -@i

| SAINTE-ROSE. DU-LAC

de 2-2. Nous lui offrons nos chaléu-, “jreuses félicitatiogs Nous sommes | fiers d'eux. C'est un groupe de-joueurs {qui, non seulement déploie un jeu ha- ÿ:

culée,, notre divine Mère. Les heu- reuses privilégiées étaient Hélène Bre- lecher, Gérmaine Bretecher, Yvonne Raffray, Alma Beaudin et Cécile Guyot. M. le curé, après la réception, | fil une peiite lecture bien pratique et bien émouvante au #æujet de la vie

rée, expos _ brie et J'idéal poursuivi.

.Conforinément au programme de A..C. J. C., c'est par la piété, l'étude et l'action, dit-f, que la sertion offre aux jeunéi gens, à la sortie des clas- ses, un moyen continuer leur for- mation personnelle, tout en, appreflant

heurs, Joseph Moreau. Grade VIII: Excellence, ; Adonaï La:

moureux; diligence, Lucien Charette:

honneurs, ie Charette, | Grade VII: Excellence, Alphonse Gi

rard; dfligence, Alphonse Girard: hoë- DE neuî’s, Honoré Vouriot.

ie

d'une, Enfant de Marie du berceau à a A VI: Excell |tier s'est établie dans les annales loca- |, mieux comprendre leur$ devoirs au |la tombe. Cette petite lecture si'bien an n . nest peer les du sport. point de vue religieux, social et na- Résultats des jetés ctées données par |Choisie dut toucher tous les coeurs ' cs Paie mai

Notre espoir de voir l'équipe de

tional. la commission scolhire le 6 février: |senfibles au beau et au bien ét son | "lens: honneurs, Avila Girard. He Saint-Pierre venir tenter de nous en- _ Au coués d'un bntr' Grade -XI:-Gertie- Parfum demeurera longtemps dans | Grade V: -Excélience: Léon .Troi- Ever coupe Molloy a été déçu. A de cinéma qui-suivit, M. yère pré- Bonin + les âmes de toutes présentes, Que tier; diligence, Louis Hamelin; hon- so la dernière heure, la partie a été re- senta M. Paul Baccaeït, instituteur à| Grade X: Antohbtte Houde, Béa- bes généreuses enfants se conséryent | neurs, Paul Leclaire.

Cardinal et r desltrice Proulx.” toujours dans tes beaux sentiments] Grade IV: Excellence, Peter Fran- .. Nous noùs'préparions à cours du soir pour adultes dans la] Grade”IX: Adrienne Robic, Antonio | qui les animaient le soir de leur-'ré. | KOWski; diligence, Chärles Leolair;: même localité, qui, accompagné d'un | Vermet ception et puissent-elles être toujours | honneurs, Isaje Girard. ' bon nombre sés membres et d'au-| . Grade\ VII: Dégède Montsion; | aimantes, loyales et fidèles à leur Le 7 Grade IT: Excellence, ‘Gaston :La-

Georgette Arcand et Noël- Délveaux (ex aequo): Grade VII: Guyot. ‘Grade VI: Jean Moilgat, Thérèse

: tres habitants de Cardinaï, avait eu à

plus coeur d’apportér une fouchante mar- Û ue. que d’encouragemerit et d'approbation à notre jeune société. Nous es en remercions bien 3

moureux ; diligence, Philippe Lord: honneurs, Benoît Delisle,

Grade II: Excellence, hayraont- Vil: lebrun; . diligence, Joseph Ferland; honneurs, Raymond. Villebrun. :

tite maman "du ciel”. :_ Discussion à la bn école Cette fois-ci le sujet était: ‘Résolu que la cécité est une plus grande af- fiction que la surdité”. Helen. Cum.

Rose Lahaie, ! Cécile

Décès. Vendredi soir, 13, mourait après Yongue st doutburetie

adie, | "1 Haccaert nous ft un agietisl Delveaux: Priscilla Montsion et V'ic- | ming conduisait l'affrmative et: Cecily LS EMA ASE ‘Hate LArthuf, 7 exposé de la situatiôh actuelle. Par ftor (ex aequo): Fitzmaurice la négative, Les: parti! Enoh, Ro or Îlebrun’, , Ses funérailles |4es statistiques de bremiér, ordre, 11}: Grade V: Lédnie Brunel, Elizabeth | sans de Cecily ont.eu beau se’ déme: Jeurs, Ferdinand Mipsisen. .

Ingiebebn: :

- Grade JV : Lièns FARÈME Marguerite Neault,: =. Gradg III: Léontine Montsion, AL bertine Delorme. : »

Grade I: Ykndyé Moigaÿ, runel. *

4 à rade I (b): Excellence, Denis: De- per et fils l'ont fait admirablement |; é l'atfrmative l'A emporté, ; Aussi Msle;_ diligence, Denis coul hon- Räoda: Saurette était derce côté et] Peur, Dania Delisle. sès manières si pérsuasives, :son ton

à " déen * | si naturel et si posé ont beaucoup à

é Le Baume Persan aide 2 esse prie pr Ce sr br pal parfaite de la beauté. Éss

M. “Harrison naquit à Saint-Boni-

démontra.que si la mn sut C'est dire qu'il est un de ces

les fermes na été blement par les moderhgs. d'autres industries ont. de l'em loi à un, bon nom 4 ainst cobsin germain de Louis Riel. ‘11 lais: ss nombre 'euvriers

déplacés. . Il dit que J’avenir beut. ré- se plusieurs enfants, dont trois: Ed: server de cruelles surprises à ceux qui

I1 était un

tiel pour la vraie” disfinctio habitent é CCR a mr ne $e souciént pas d'étudier pour-nc: uit FE Li és de 13 | Mais Rhoda devient ävocat, la pra, féminine. - Les résultats son . ae thies à 1e ferai 2 quérir ces connaissances”; es: éévrier: eue tiqué de Sainte-Rose ne lui manque- touiours ‘ei faveur d'une pis °s.spmpathies & Ia famille éprou- ue: gta: : qéi dit Êque dans ur ra pas. s Gradf ttérat t chimi [haute expression ,de beau quelques Mol Me À 2 xçyst que Littérüture et chimie: | —— ——2-4D0-2——— au xpres .4 té,

Helen Cunming, Gertie Tucker, Cé- ztcile: Bonin. , 5.

nu de janvier au . Couvent

Tableau d’

s

Son usage garde les mains tou-

vous faites présentement ?”. jours douces et d’une blancheur

Si la saine logiqueæ" le. don de con’

: Grade X Epellation: Heled Bre- Jimmaculée. Indispensable pour - Grade XII: Denise Fortier, 67; Ruth p f . Grace Mmpeon (ex berne exposé Eee aura cher, Antoinette | Houde, Béatrice La vonvotica daniel des.commts- [toute la. amille, Donne à la Ce- | aequo), 63. | À Pig aux Joue Sie pe ten Proutsp | saires d'écoles du comté de, Proveri- [Mère un charme nouveau. Pr Grade XI: Agathe Grade IX Histoire: Paul Sau- her eut lieu dans-notre salle de l'A.| Père: il seryira comme fixatif

Comeault, 78; | des cheveux êt em à barbe

veine des” pat der Pt, AND ET EME, Cintre Ho-| C. J. ©. jeudi r: après-midi, f h rade « d 96: Jean- ccgbeenät ent es-tu Malgré le temps “te mauvais | rafréichissante. : ner Eh ae ee _. + mu le la fn du ; Grade VIN Musique : Viola Dame, pr pleurs 2 “la. pe ar- | l'épiderme re PAS Ron KL à Grade IX: Hélène Faitum, 98: uen. De CE pr PQ ge sais lGeorgette. Arcañd. rondissements scolaires t repré-| Le Baume Persan est l'artie

Grade VI Musique: Catherine

Der vier, #1. RC Ex Ida ! Gravelines, "87;

} 1 t de toilette idéal. D de a or A ds sentés par leurs commissaires et plu-

sieurs contribuabl de Lee | mme = Pr Er Jremiércler de l'ajde: Belle "Valoquet- (0x aequo); pute Saint-Jean-Baptiste y assistaient, M. Grade brielle Bruyère, 90; soif rs le maire Narcisse Breton et M. Léon LES POUSS NS Marthe fous a nt l'oeuvre de rm ‘Grade vi _— Hitoire du Canada: Bruyère, président et secrétaire, s'ac- Grade ‘Denise Ayotte, 88: Char. 1é-cuurs du soir, Æutges ci #: . | quittèrent comme toujours admirable. les Empson, 81. rades lui présentärent des cañeaux, Grade V “ae Raven es nt bien de leur tâche. Parmi ceux

Grade VI: Antoni Loiselle, 95; Mar- guertte Bouvier, 92.

Grade IV: Simonne cv 90; Ida Jubinville, 80:

Grade I: Jacques ne 99; Ju- les Comeauit,, 94

Grade II: Yvette - Houle, - 96; Mar- celle Granger et Cécile Jubinville (ex

. M. Bruyère leur dit combien 11 était touché de cette marque d'amitié à son égard, et les an. remercie, ne ‘Mais si: cette. séance

trouvée fort intéressante, que

celle qui #_éontinus dans la songe M RC ee nt lunch. Là, sur les tables, un mag:

re gg gag [rehausser cette durent M l'abbé J.-A. Couture, M. A.-L.;Beau- bien, notre député de Provencher, le : | Rév. Frère Joseph, de Saint-Boniface, +5 . [et M. Ciarence Moore, notre inspec- |” teur d'écoles. : nourfi Plusieurs sujets importants ont été | de f discutés avec beaucoup d'entrain ef

il est certain que les mesures add Lo Perron a a ar URI à

fut 27

£

Æ Ë; Fe

ï d

ci

l'AS

chain!

SAINT: BONPAR. Une qualité qui lui | | _a valu la saprénaiie

A1] 'archevéché

; L'exambn bl-annuél hs jee nes pré-|

{rés dura ileule mercredi de l'octave |

Lu. L] Cenar es, le 25 courant, à @ h

a - ‘examen fe Hate gt que déni, gnér d'avan | ce

Ah d'abéa

ces à in cathédrale rôut lieu dans l'ordre suivant Fandi #pir, à 7 h 30 beige d'adoration: mercredi LL! mérmik héure, sermon et di soir. à| . WT &..Sacrement: vendredi soir, à

ia Le | heure, chemin de croix

aura lieu le matiñ et aussi le soir, 7 h. 20

Mgr le ciré a vivement exhorté ses Paroiastens, à‘ suivre fidèlement etercices du carêéme et ment. à venir en foule Sainte L

les particulière -

à ta Tahie

A Dee —— Activités musicales

4

La chorale La Chorale de Saint Boniface au _soncert. Ce concert séra le troisième

de In saison. Les organisateurs an-

nonrent qu'ils opt pu obtenir le con artiste |

cotirs Muiler, du “public. Li chorale donnefa un concert qui, par le ghoix des morceaux et l'hati- le'é des msuiciens, vaudra 1x peine d'être entendu. Le prix des billets a été fixé à 50 sou Donc, à l'Institut Collégial Provencher, le 12 mars pro-

de

Mine yrile

üvantageuse ment connue

+

L'orchestre

Ijorchéstre a recommencé ses ré- pétitiqns sous la direction de M. Ma- riu$ Benoist, Mercredi prochain, le 25 courdnt, la répétition aura lieu à Pharmacie Préfontaine. ‘Il en sera ainsi toutes les répétitions Nous sommes heureux de remercier la Phar- miatlé Préfontaine qui, avec sa géné- rosité habituelle, met son local à la disposition de nos musiciens.

Concerts français à la radio

Le poste CJGX (Grain Exchange) donera trois concerts français sous peu. Le premier aura lieu le 5 mars, la second en avrti-et le troisième en mai. Ces concerts comblent une la- cune. Les auditeurs de langue fran

cnise g#eront heureux d'entendre leur Mme A.

langue

Nous espérons que doi organisera geles. et Mme W. Pritchard, ‘Säint- | d'une manière permanente des co1- Boniface;

certs français au moins tous les moi:;

AE en |

éu!

| fast sur “üiie |

| Durant temps du carëme, les off |

soir, à! |

a fixé | 12 mars la date de son prochain

rot

LE

“Frais

x

Mine JOSEPH COUTU, récemment décédée à Los Angeles, Catifbrnie

son “époux, elle ‘alia se°ñxer à Los Angeles. L'automne dertier, elle était

EU I . CR AU et:

+ > À PE / ' Ne

Ed ; J * J ee

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‘Wwhi st Dames” 1, Mlle C. Steene; 3 Mie FE. Coutüre: 3, Mme L Dumou- the! Messieurs: 1, M. FR. Gorge; 2,

FPateraüdé : 3, M. O. Véroneau

Re Dames: 1, Mlle M. Blan- {chette. Messieurs: 1, M) A. Taburel.| + Donateurs: Mgr Jubihville, Phar-|

Préfontaine, Pharnraeis Mc- M. Ed. Lane, Mmes J.-B. Poi

Kiewel Brewery Merci À tous -G.. RAYMOND, Secrétaire. Re

Par la commission scolaire

süirée réc réative due à J'heu-

Commission scyaire.

Quelques ‘points du rogramnie maire pr récédente gnt, eu sans doute un effet magique sur Boniface, ‘on s'aftenflait à quelque chose db bien et déjà, üès 8 h. la belle et vaste salle de l'Ihstitut Céilégial Provencher était pleine. Quelques personnes dnt.4ÿ rester debout au

revenue’ voir ses enfants et ses nom-|fond de la salle tandis qu'un grand

breux amis, et tous furent Charmés de:Ja revoir en parfaite santé. nouvelle de sa mort sera une surprise pour tous ceux, qu'elle avait ‘édifies par ses grandes qualités de chrétienne sincère et de patriote ardente.

Ellé laisse quatre filles et deux fils: |

Cherpin, Mme E. Dupont, Mme KE, Bourgouin, tous de Los An-

M. Philippe Coutu, Boniface, et Eddy Coutu,

de à Los

st-J A2 |

Ceux qui s'intéresent à ce mouve- geles, Cal.

ment feraient bien d'écrire au poste CJGCX, au Grain Exchange. L'on de-

La dépouille mortelle arrivera de | Los Angeles samedi matin. Le service

nombre ont été obligées de retourner chez eïles sans pouvoir entrer.

Le programme était des plus variés les applaudissements d'uné foule enthousiaste sont le meilleur témoi- gnage que les nombreux artistes aient eu du succès de leurs efforts.

et

L'entrée ne pouvait être mieix choisie: ‘On est Canayen, ou bien un ne l'est pas!" L'artiste, M. K. Jo-

doin, dans une série de couplets, a | montré avec beaucôdup de tact les. qua- r'Htés et les défauts de l’ habitant, Pas un rappel, il a présenté au public, dans une chanson de circonstance #t

vrait écrire également après les con-|sera chanté à ta cathédrale lundi mä- | 4e sa composition, les différents mem- certs, pour manifester son'apprécia-| tin, à,9 h.

tion et demander de nouveaux con- cérts français. EE

Mort de Mme J Joseph Coutu

Mine tédérk Cu Coutu, épouse de feu 8.J M. Joseph Coutu, est décédée diman- |jège. de Saint-Boniface, donnait dans|‘"} Un acte, en

che sôir À Loë Angeles, Cülifornite. Mie Coutu était.née à L'Assoïinp- tioh, liffols, en 1852, et passa toute sa jeunen-e aux Etats-Unis. Elle était la fille de feu M. Hubert Prince et de Claire Lamothe. Er 1888. èlle épôusà M, Joseph Coùlu à L'Assémplion. En 1876, les deux familles s'établitent à Säint-Bonifdce. M. Hübért Pflice fonda alorsle premier hôtel de Safht- Boniface, connu sous le nom de ‘Na fHonal". Son époux, M. J. Couty,.en- tra à l'emploi service civil et compta 25 ans de service actif dans P vieux-et le nouveaii bureau de poste à Winnipeg. . rs A Saint-Boniface, Mme Coulu ren- ‘dit de nombreux servicès aux oeuvres soûiales : elle était aussi membre des

dBsses-ée Sainte-Anne. | ‘âns, après la mort de

me

Conférence R. P. H, ÿ Schelpé, S.J.

Mercredi dernier, le R: P. Schelpe,. professeur de philesophie.au Col-

l'auditorjum de l'Institut Collégial St- Jüseph une magistrale conférence sur un sujet important et actuel: ‘Les mariages mixtes”.

L'assistance se composait des.mem bres et des xmiés de l'Amicale des An- ciénnes Elèves de l'Institut” La salle était comble, ls 1

Après : l'exécution sofgnée d'une Etude de Liszt par Mlle Simone Huot, ATC.M., Mile Jéanne Painchaud, en, termes heureux, présenta le Révére Père à son sympathique auditoire.

S'appuyant sur. la raison d'abord, puis sur le témoignage des statisti- ques et'enfin sur l'expérience de |’ Egili- d'où découlent Îes lois ecclésiasti- ques frelatives au mariage, le Rév. Pèfe conférencier exposa clairement les malheurs qui résultent de l'infrac- tiôn À cés lois. : F :

Guidé par son. sut ‘de prêtre et d'apôtre, le R. P. be invita auditrices à la réflexion et à la prière premiers remèdes ah fléau eg aus + faut vivre sa vie tientié, avoir l'intelligence de . sa foi, faire preuve d'une volônté persuadée, car tôt ou tatg a dit le Rév.. Pèré

conférencier, vous conf cette réflexion y , auteur derné : “Si

l'on ne "vit pas comme l'a r penser comine l'on it Bonin fut l'interprète ee

ur

F

pense, LE cu 1e Ma

bres de la Commission scolaire, M.

Marion, ‘le Papa de la Commission, quels/1'

MN. Dussaült, Prénovault, Gaudette, Pambrun, le secrétaire lui-même, M. Bétournay, personne n'a été dublié: chacun a éu son petit couplet.

Vénait ensuite une pétité éwmédie glais, ‘Out : Aunt From California”. Ün groupe de pèn- sionnaires de l'Institut Collégial Saint- Toseph a bien voulu présenter au pu- blice ce numéro intéressant.

Mille Savoie a exsuitè chanté una!

gnifique morceau intitulé: guide”. Elle était accompagnée pif Ml!e Bernier. La chorale mixte, s0ys l'habilé direction dé: M. Marius Be- n0ïist. a ténu le public en ädmärat{on “tendant l'exécution ée deux morceaux.

e Bernier eccompegnait ençote

iano. Les-appla se sont féllemetit prolongés qüe M Benoist, après un ‘premiés”k2lüt, 1 énfh se

résigner à répétef le ;second mor- éeau; ‘Choeur Tyrolien”. : Certes, Ja chérie et son chef Gyppen rh r tibn' du public de le travail très re À qû'ils présentét en cette circonstance

M. Lucien Ag + ensuite “hanté “Les Semailes”, äccompégné par Benoist, La soirée aürait été inc

VS

fameux b

Soirée récréative organisée lparolés bien entres

> dimançhe 8, Æévrier avait lieu la[gré d'un "granf nombre

froi isièmi,

+eusé—initiative-des— membres-de”-br Ja-Commission-eture èu-te-

LA public de St-|

“Soir lan: |’

pète si M. Liclg! Trideau, 06e one

vi L- Mme H, LAB cr qui vient d'être réélue présidente, de la Fédération des Femmes Canadien- nes-Fyançaises.

‘Cha! élier/ M y uvot a mis 1e choë: à la soirée

nu,

par une fable La fFontaine:-"“La tigale et la fourmi”. I] a imité avec l'une râe berféction ‘trois rôles, bien lä'ätincts une fillette de la petite clas- | se, une grahde ayant fohscience de sa | | dignité ét un krand garéon, le “tough" | de la parotasé. N : M. Pamibrum- â énsuite remercié pu- ‘bliquemeht les actes par quelques VA “O Canada’, la foule, na courte, au

chanté âvec “entram pa

clôturé cette soirée, trop : La prochaine et dernière soi

mats( . - Pr,

15

mentionnés dans la Liberté la ‘se-| Louis Riel, neveu du gr and

patriote, élu président de l'U. N. M. de St-Vital

‘L'assemblée ARE de l Union Me. tisse de Saint-Vital eut lieu le 15 cou- rant à la résidence de M. Louis Lavai- lée, père, à Saint-Vital.

Le président sortant FR M. Jos. Lavallée, souhaita la bienvenue aux membres et fit un bref résumé des activités @e l'Union durant l'au- née qui vient de s'écouler.

La: vérification: annuelle des comp- tes u'étañt pas terminée, le rapport financier est remis à la prochaine as-

:|semblée., Le trésorier rapporte ,ce-

pidant que la balance en banque. est $228.98 et que son intention est de faire publier, un rapport aussi dé- taillé que passible des pt Es de l'année dernière.

Le président ! général, M. S.-A. Nault, passe ensuite en revue les évé- nements de l'année, événentents aux- Union de Saint-Vital participa avec honneur et succès. ‘Il ne cache pas qué sans. Saint-Vital et le dé- vouemant sens borne de ses membres, bien peu de chose aurait pu être ac- compli. 11 promet un rapport: com- plet pour. l'assethblée ‘annuelle de Union Généräle qui est remise au ler, mars, ,

On procède ensuite à l'élection des officiers pour l'année courante, laquel- le donné les'résultats suivants:

Vial; Îer ivice-prés.; M. Albert Per reault, de Saint- -Norbert; 2ème vice- prés. M. Pedro Lavallée, de Grande- Pointe; sec.-trés., Mile Alida Lavallée, de Saint-Vital; iditeur, M. Moïse La- vallée... de, Saint-Boniface.

Une résolution dé, condoléances est passée à l'occasion du décès récent de Mme Wm Gladu, de Tränscona, et Mile la secrétaire est. chargée de faire parvenir cêtte résolution à Ja famille. AH est aussi décidé qu'une grahd'mes- se août, AG ed pour le rApeE + Lu âme de la défunte: pu. ns en Passant que “Miñe Glady (née Eulalie.Riel) était la seule soeur survivanté” trio

e de!

N\

Président, M. Louis Riel, de Saint-|

la ‘dernière partie de la ligue parois- siale dans les:finsles: les. ‘“midgets" dy Collège reneontraient niorat. Tous voulaient gagner. Les Jünioristés, ee pe L leurs deux "dernières vict , se disalent qu'ayant battu tour à tour le Cétiège et l'équipe, de la Cathédrale, il n'était bas impossiblé de | sion triomphale. ‘Les collégiens vou- laien: prendre la tête de '& digue et

“Feëla. ‘si possible. par une victoire éeïa-

tante. - .

A deux. heurès, la partie commen- ce. Le jéu'es. rapide, les passes, nom- breuses.4 Mn bataillè. Cépuis dix mi nutes quand Montpetit nouvelle et précieuse ‘recrue bloque à la 3é- fense et s'élance vers les buts adver- Mais Aubin est qui ättend, ferme et solide. Inutile d'essayer par là!" I] passe au centre. Le capitaine: Paul Gauthier, est à son poste! Ans- sitôt reçu, aussitôt passé à sôn ailier de gauche. Vien lance, il a visé juste, la rondelle est dans le filet. Délire æhez les Collégiens. On enregistre toute une gamme de gnns nouveaux: cependant que dans une loge impro-, visée, des pétits chantent les léttres du nom de notre brillant compteur.

La bataille continue. Larivière, en- traïneur de l'équipe, change ses hom- mes au moment opportun, car leS ad- versaires restent toujours dangereux, Joyal, le.joueur infatigable du Junto- rat, fait .des prodiges sur ses patins. Mais la défense est ‘quasi infranchis- sable, et, dans les buts, Yves Fremblay a les yeux’ ronds et- grands oùverts.. Re ymend -Gauthier /se multiplie. La

partie finira, semble-t-il, avec ün ré- suit: _Mais Beaudin, qui 2 cu: une Daitie endiablée, trouve que ce n'est pas ‘suffisant, et, en consé- ence, va porter le caoutchoyic dans : et. Le triomphe est complet. Se | répétèta-t-il pour les finales? Atten- dons...

ses.

. + nous recevions la visite appréciée de quelques anciens. Ils venaient jouer Cgntre les'élèves et les Pères! Quelle akdace! Ils ne sa- vaient donc pas què notre Père pré- fet à un bon bras. La partie fut Chaude. Le soleil l'était aussi. 11ls n'ont pas réussi à rentrer ln point. Nous en avons compté cinq! fit pour- tant, Albeît et ‘Tony Lemay ep étaient. Ce qui prouve qu'ils ‘sont peut-être meilleurs patineurs que nous, mais fous sommes meilleutà marcheurs...

Visiteurs: MM. Albert Noa

Chärles Etienne Huot, Antoine Ney- on, Roland Couture, Albért gt “Tony” Lemay; l'abbé Emilien Lévêque com- me ‘aumôñier! Collège: RR. PP. Hacault, Srinet. Bergeron; MM. Paul Dugg# Etienne Couture, Eugène Lariviè ançois Brunet, Arthur Burley, Marcel Treme blay.

Arbitre Paul Gauthier. |

La Page du Collège paraîtra se-

maine ponts.

w

Lauréats du D 4 de janvier 1081.

Phil fred Paradis, Gérard Léveillé. Dili- gence; Alfred Paradis, Lucien Co- meau. Honneurs: Alfred Paradis, . Philoséphie I Excellerice : P. Du- gal, Ernest Gedrges. Diligence: Er: nest , Georges et Paul Nadeau. Hon- neurs : "Ernest: Georges.

lés vers et les expulsent du sys-

comme un destructeur de verts, mais encore comme une cine : faible. et prod à la *|santé A tre indispetsgble à de pr cg ét la. robus = a

Mardi derñier avait.lieu au Collège

du Ju-

ptinuer YaScert-:

hie II ÆExcellence: Al-'

Lés Poudres pour les Vers. de | Miller échouent rarement, El- les attaquent immédiatement |

tèmes Elles sont complètes en elles-mêmes, .non seulénrent |

DSL D PPE

Pt d

Arrêten douleur, : enfiure et saignement :-

des HEMORROIDES |

avec l'onguent herbeux Zam-Buk |

Winnipeg. Man. 18 février

% : FE gtnce: #/éphifin Magnan, Jean. Honneurs Philippe Jean. ;

“Senior Comimeréial" Arthur Laribert, Eugène La ligence; Aitred Plante,

Pi ppe

Maurice Sourgoufn,

Le Exe fonce Di-

À

Di. -

royafd. Honneurs Joseph Rodrigue. “Junior Commerc'al -- Excellence Gérard’ Guilbert, Louis Vermette Rhétorique : Helene A rimand | ligence: Gérard Guilbert, Louis Ver- Soyal, Adrien Jacques Diligence: metté. Honneurs: Louis Vermetté Adrién Jacques, Gérard de Ruyek.l Eléments français Excellence Honneurs: "Arrand “Joyal : Wilfrid Langévin, Léon Beaudry Di Belles-Léttres D cellénce:: Geqr- ligence: Wifrid Langevin, Léon Beru-

ges Rämaekers, Oliv gence: René Jutras, cel Carbotte. Honneurs: Georges Rarhquers.

Vefsification. Excellence: Bernärd. Brunet, Refñë” Létienne. ligence : Thomas Par adis, Wilfrid Si: cotte. Honneurs: Wilfrid Sicotte.,

Méthode Excellence: Dugas, Jules-Marie Dugas ce: Dominique Dugas, Massicotte. Honneurs: Jujes Labossière.

Syntaxé -— Excellence: Jacques Du: bic, Maurice Bélanger Diligence: | Louis Lahaie, Edmond Fontaine.- Hon- neùrs: Edmond Fontaine, rin.

r Lafieur

Eléments latins ‘’A' Excellence: François Deniset, Aimé Lebleu. Di- ligence: Louis Morin, Eugène C'ossette

Honneurs: Léo fRémillard, Edoua:d |. +

Fontaine Eléments latins ‘’B" Philippe Jean, Peter Chärnicht—

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a Winnibro. Man. 18 février 1491

e du Pape

eNoycLique CASTI CONNUBIP” DE A SAINTETE PIE XI SUR LE MARIAGE

(Buite)

Bi l'on considère toutes ces dènst Vénérables Frères, avec un esprit at- tenti£t une foi vive, si l'on mel dans a lunmiéta ‘qui convient iles biens pré-

indissoh;

Mais butre ferme \ bilité

Œautrer avahtages beau vup pi

cette rement conle

bièn Au nxc 28 61:-}!

: 1 Va. parfaitement indiqués par le vo- |" fux du mariage, les enfants, la fidé- Cable te ‘rarrement": ce n'egt pan lÀ.| ‘6, le sacrement, personne ne pourrs en"flet, pour les chrétiens un mot | bec nr d'admirer la sagèsse, et !n vide {e sens en élevant le mariage |"*inteté la bonté Œvines qui, dans de ven fidè'es À Ta “alynity d'u ner À à seule chaste et sainte union du pac- dt, réel sacrement 4e In loi nouvel « nuptial, a Pourvd si abondamment, Notre-Bejgneur qui à ‘institué et per. |°n méme temps qu'à la dignité et au fectionné (’Conc.Trid ”. sens, XXIV omheur des époux, à la ponservation les ancrements vénérables a fait |°t À la propagation du genre RE très effectivement, du mariage, je "signe et la source de cete. grA e int L' .—. li V à la sainteté reure spécinie destinée à ‘perfeétior u mariage | her l'amour natjirel, À confirmer l'in- Tandis que Nous considérons “toute dissoluble unité, et à sanctifler les.|cette splendeur de chaste union} cor.- époux”. (“Conc Trid”, sess. XKIV : d'jugale, il Nous apparait d'autagt plus Ft parce que le Christ a choisi pour Far de devoir constater que cet- #gne de cette grâce le consentement |te divine institution, de nos jours sur- sonjuga! vâlire entre les fidèles, le | tout, soit souvent méprisée et un peu facrement eut intimement uni avec | rartout répudiée Je mariage chrétien qu'aucun vrai m | Ce n'est plus, en effet, dans le se- rage ne peut exinter emgtre des ba 5 ret ni dans les ténèbres, mais ‘au Uisés ‘‘nans êfre du méme coup she jour que,"laissant de côté toute sacrement" ("Cod Jur can ( ideur, on foule aux pieds ou l'on 012; Han en dérision la sainteté du ma- Par le fait même, par conséquent, |riñge. par la parole ct par les écrits. qué les fidèles donnent d'un coeur s | ar les représentations théâtrales de cère ce consentement. ils ouvrent out genre, par les romans, les récits eux-mêmes Je trésor de la ie «a- |damour.et les nouvelles amusanteg,.

Cramentelle ils pourront puiser des |l°* projections cinématographiques, les discours’ radiophonés, par toutes es inventions les plus récentes de :a jusqu'à |“tience. On ÿ exalte, au contraire, +les divorces, les adultères. et tes vices ics plus ignominieux, et, si on ne vA pas jusqu'à les exalter, on les y peirt telles pare qu'ils en

fôrces surnatuürelles pour rempiir leurs devoirs %t leurs tAïhes, : fidèlement ‘saintemeht, persévéramment, ja mort

Car ce sacrement, en ceux qui n'y opponefit pas d’'abstacle, n'augmente Pas seulement In grâce sanctifiante _.Prmcipe permanent de vie _surnatu. | rêlle, mais 1 ÿ ajoute encore des dons Particuliers, des dispositions, mes de grâces: il élève ainsi et il per-

“ous de Les ! are mêmes ne font point défaut, que l'on ne craint

| pas de représeñter comme ouvrages fectionng les forces ‘naturelleëä. afin | scientifiques, mais qui, en réalité, n'ont que les époux puissent non seulement:| Souvent qu'un vernis de”science, pour comprendre par la raisof, mais gon- | # frayer plus aisément la route. Les ter intimement ét tenir fermement, doctrines qu'on y préconise sont celles vouloir efficacement et accomplir en [qui se propagent à son de tromne pratique ce qui se rapporte à l'état | Comme des merveilles de l'esprit mo- conjugal, À ses fins et à ses devoirs: | derne, c'est-à-dire de cet esprit qui, il leur coneède enfin-te droit au se: | déclare-t-on. -uniquement préoccupé

rene.

des gef

. Cours actuel de la grâce, chaque fois] de la vérité, s'est émancipé de tous

De

. et les devoirs de leur état,

{ Avoir atteint l'Age de raison qu'à

qu'ils en. ont besoin pour remplir los les préjugés d'autrefois et qui renvoie

obligations de cet état. ; et relègue aussi parmi ces opinions I! ne faut pas oublier cependant périmées la doctrine chrétienne tradi-

que, suivant la Joi de divine Provi- | tiongeffe du mariage.

dence dans l'ordre surnaturel les hor:- Et, goutte & goutte, cela s'insinue

Ames ne recueillent les fruits complets:

des sacrements, qu'ils reçoivent: après

ouvriers et maitres, savants et igno- la.|rants, célibataires et personnes ma- oandition de,soopérer à la grâce: aus- | riées, croyants et impies, adultes et fi :a grâte du mariage demeurera, en |jeunes gens: à ces derniers surtout, grande partie, un talent inutile, caché | comme à des proies plus faciles à dans un champ, si ies époux n'exer- | cent leurs forces surnaturelles et s'ils | ne cultivent et ne dévaloppent les se- | mencès de la grâce qu'ils ont reçus. Mais si, faisant ce qui est en eux, ils opt soin de donner cette coopéra- tion, ils pourront porter les chargés | forcent de s'érrétér à mi-route, pen- ‘ils seront sent qu'il faut seulement en, quelques fortifiés et"comnie consacrés par préceptes de la loi divine et naturelle si grand sacrement. Car, comme saint | concéder quelque chose à notre temps. Augustin l'enseigne, de même que; |Mais ceux-là aussi, plüs ou moins pür le Baptême et l'Ordre, l'honfue.| consciemment, sont les émissaires du est appelé et: aidé soit à mener une pire des ennemis. qui s'efforce sans vie chrétienne, soit À remplir le mi- |cesse de semer la zizante au milieu nistère sacerdotal, et que le secours | du froment. (Matth. XÂII, 2.) C'est

sées.

Tous les facteurs de ces doctrines ncuvelles ne se laissent pas entraîner ‘jusqu aux extrêmes conséquences la passion effrénée: il en est qui s'ef-

*. 7 de ces sacrements ne leur fera jatmaig | pourquoi Nous que le Père de famille

défaut,.de même, ou peu s'en faut ñn préposé à la garde de son champ, (bien que ce ne soit point par le:ca- | que presse le devoir sacré de veiller à ractère sacramentel), les fidèles qui ce que la bonné. -seménce ne soit pas ont été une fois unis par le lien du l'étéufrée par les mauvaises herbes Nous vnariage ne peuvent plus jamais être | considérons comme dites à Nous-Mènme privés du secours et du lien sacramen- par l'Esprit-Saint leë paroles si graves tels. Biéñ plus, comme l'ajoute le. par lesquelles de rsa Paul exhortait mème saint docteur, même devenus | son cher. Timothéé: ‘Mais toi, veille.

adultères, ils traînent.,avec eux ce He Remplis ton min tère. Prêche la pa-

. sacré, bien que ce ne soit plug pour roe, insiste à temps, à contretemps,

L

la gloire de la grâce, mais pour l'op- |raisonne, conjure, réprimande en toute probre du crime, “de même que. après { patience et en toute doctrine.” (II avoir perdu la foi, l'Ame apostate 2e |Ti IV, 2-5.) perd pas, en brisänt son ünion avec É l'on veut éch

apper aux embüûches le Christ, le sacremeat de foi qu'elle de l'ennemi, il’faut tout d'abord lea

a reçu avec f'eau régénératrice Au mettre.à nu, et il est souverainement

baptème”. .(&, Aug. : È “De nupt. et|utle de dénoncèr ses pérfidies à ceux

conc Cup.” FE lér, e. x) qui ne les soupçonnent paé: Nous pré-

æ: üe’ les époux, non enchainés, férerions, à coup sûr ne point même

« . imals ornés. du lien d'or du/sacrement, | ommer ces iniquités “comme il con-

___ lui, s'appliquert-de toutes leuts forces

t

non pas. entravés, mus fortifiés par vient aux Saints” (Ephes. v, 3), mais

dans toutes les catégories d'hommés.,

| prendre, les pires embüûches sont dres-

te-bien et le saut des Ames, il est impossible de Jes taire tout à fait. 1

à faire que. eur union, nôn pas seules Nous ment par la force ét la vertu du mt crement, mais encore par leur propre esbrit et par leurs môeurs, sit et La nource des erreurs Le reste loujours la vive image de cette | Pour commenger, en conséquence très féconde union du Christ avec | par les sources de ces maux, leur rn-

l'Eglise) qué est, à Coup sûr, le mys- |cine principale est dans leurs théories.

tère vénérabté de la très parfaite cha-' sur le,mariage qui n'aurait pas été rité, . institué per l'auteur Le ne. nâture, ni

tr

DE 77

o. 4 ge LE ne ie péciaun PR CUS:

.

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ki

4

[la femme légitime, l' [devient illicite et ‘honteux’, dès lors que la conception, de l'enfant y est . A évitée. C'est ce que faisait Onan, fs

d'un, vrai sacremeët, mais qui aurait invénté par lesihommes. Dans la nature et dans ses lois Îts UNS ASsü- rent qu'ils n'ont rien. trouvé qui se rapporte au mariage, mais qu'ils y ent seulement observé la faculté de procréer la vie et une impulsion vé- hémente à satisfaire cet instinct: d'autres recénnaissent que la nature humaine dévèle certains commehce- ments ‘et comme des germes du vrai mariage, en ce sens que si les hpmmes ne s'unissaient point par un lier st bie, il n'aurait pas été pourvu à la di gnité des époux, ni à la propagation et à l'éducation des générations hu- maines. Ceux-ci n'en ‘enséignent pas moins que. le mariage lui-même va bien au-delà de ces germes ‘êt qu'en cofiséquence, sous l'âction de’ causes diverses, il a été inventé par le seul ésprit des hommés, qu'il a été institué par la seule volonté des hommes.

© Conclusions désastreuses |

Combien profonde-est leur er“eur À toùs et combien ignominieusement ils s'écartent de l'honnêteté, on l'a déjà constaté paï ce que nous avons exposé en cette Encyclique touchant l'origine et nature du mariage, de ses fins et des biens qui y sont-insérés. Quant au venin de ces théories,- il pessort des conséquences que leurs partisans en déduisent eux-mêmes; les lois, les institutions et les moeurs, qui doivent régir le mariage, étant issues de la seule volonté des hommes he seraient aussi soumises qu'à cette seule volon- elles peuvent, doivent même, au gré des hommes, et suivant les vicis- situdes humäines, être promulguées, être changées, être abrogées. La puis- sance génératrice, justement parce qu'elle édt fondée sur la nature même, est plus sacrée et va bien plus loin que le mariage: elle peut donc s'exer- cer aussi bien en dehors du martage sein--du-marrage--ehe-te- même. sans tenir compte des fins du mariage, et ainsi la honteuse licence de la prostituée: jouirait. presque des

mêmes droits rmconnus à la maternité de l'ébouse légi ï , ‘Appuyés sur s, certains

en sont arrivés à imaginer de nou- veaux. genres d'unions, appropriées, suivant eux, aux conditions présentes des hommes et des temps:-ils vèulent y voir autant de nouvelles espèces de

mariages: le mariage ‘“tkmporaire”, le martage à ‘l'essai’, Île /mariage ‘‘amical”, qui réclame pouñui la plel-

ne liberté et tous les droits du maria- ge, après en avoir éliminé toutefois le lien indissoluble et en avoir exclu les enfants, jusqu' au moment, du moins, les parties auraient transformé leur communauté et leur intimité de vie en un mariage de plein droit.

Bien plus, il en est qui veulent et qui réclament que ces monstriosités soient consacrées par les lois, ou qu'ils soient tout au moins excusés jar coutumes et les institutions publiques des péuples. et ils ne paraissent pas même soupçonner que des choses pa- reilles n'ont rien assurément de cette culture moderne dont ils se. glorifient si fort, mais qu'elles sont d'abomina- bles dégénérescences qui, sans aucun doute, abaisseraient les nations ctvi- lisées elles-mêmes jusqu'aux usages barbares de quelques peuplades sau- vagès, .

Contre la naissagce des. enfants

Mais pour aborder en détail l'exposé de ce qui s'oppose à chacun des biens df” Mariage, # faut commencer par les enfants que beaucoup osent nom- mer le poids malencontreux de la vie conjugale, et qu'à les en croire, il faut épargnèr avec soin aux époux, non point, d'ailleurs, pàr une vertueuse continence (permise dans le mariage aussi, quand les deux époux y çon- sentent), mais en viciant l'âcte de la nature, Les uns revendiquent le droit À cette criminelle licence, parce que, supportant. point les enfants, ils dé-

\

sirent satisfaire la seule volupté sans | aucune charge: d'autres, parce, du'ils

ne peuvent, disent-ils,. ni garder, la cuntinence, ni à raison de leurs diff- cultés personnelles ou de celles de la mère, ou de leur condition familiale, accueltir des enfants. ê

Mais aucune raison assurément, si grave soit-elle, ne peut faire qi qui est intrinsèquement dentre-satues, devienne conforme à la nature et hon- nête. Puisque l'acte du mariage est par sa nature même destiné à. la. gé- nération des enfants, ceux-qui.-en l'ac- complissant, s'appliquent délibérément À lui enlever sa force et'son efficacité, agissent contre la näture; ils fontune chose honteuse et Bnnirrs-rcer déshonnête.

Aussi ne faut-il pas v'étemier de voir les” attester que la divine déteste au plus haut ce forfait. abominable’ et qu'elle Parfois puni de mort, tomme le rappelle saint Augustin: “Même avec acte mBtrimonial

Doin

de Judas, ce pourquoi Dieu l'a mis à

élevé pär Notre-Seigneur À la dignité] préchene d'une façon reteñtiesante sur

ces pratiques une autre

[t'Egiise catholique, platée au

de re betileversement des moeurs, étà. | ve bie# haut la woôix pas Notre

che, en signe de s# divine bibéston, pour garder la chasteté du lien mup- tial ha l'abéi de cette soulllüre, et-etle bromulgune de nouveau: que tout usa- ge du mariage, quel qu'il soit. daàs

l'exercice duquel, l'acte est privé, par |.

l'artifice des hommes, de sa puissance naturelle de procréer la vie, aie la loi de Dieu etlé loi naturelle” et que ceux qui Auront commis quelque chose de pareil se Gus souiés d'une faute

C'est pourquoi, en vertu de Notre suprême autorité et de Charge que Nous évons de toutes les Ames, Nous avertissôns les prêtres qui sont atta- chés-au ministère de la \confession et tous ceux qui ont charge d'âme, de ne point laisser dans l'efréur, touchant eette très grave loi de Dieu .lés fidè-: les qui_leur |sont confiés, et bien. plus encore, [de se prémunir eux-mêmes contre les fausses opinions de ce £en- re ét de ne pactiser én aucune façon avec elles. Si, d'ailleurs, un confes- seur ou un pasteur des Ames ce qu'à Dieu nb plaise! induisait en ces erreurs les fidèles qui lui sont con- fiés, ou si du moins, soit par une ap- probation, soit par un silence coupa- ble, il les y confirmait, qu'il sache qu'il aura à rendre, à Dieu, le Juge suprême, un compte sévère de sa pré- varication; qu'il considère comme Jui étant adréssées ces paroles du Christ: “Ce sont des aveugles, et ils sont les chefs des aveugles; or, si un aveugle conduit un aveugle, ils tombent ‘ous les deux dans J fosse.” (Matth. XV. 14; Saint-Office, 22 nov. 1922.)

Les devoirs difficiles, mais possibles DS

Pour ce qui concerne les motifs allé- gués pour justifier le mauvais usage du mariage, il n'est pas rare pour taire ceux qui sont hont‘ux que ces motifs’ Soient feints ou exagérés. Néanmoins l'Eglise, cette pieuse Mère, comprend, en y compatissant, ce que l’on dit de la santé de la mère.et du danger: qui en menace la yie. Et qui ne pourrait y rédisie es Von: vuir de pitié? Qui ne concevrait la plus haute admiration pour 1a-mère qui. s'offre elle-même, avet jun! cou- rage heroïque, à une mort presque certaine, pour conserver la vie à J'en- fant une fois éonçu? Ce qu'elle aura souffert pour remphr pleinement. le devoir naturel, Dieu seul, dans toute sa richesse et toute sa miséricorde, pourra ie récompenser, et il le fera

-

sement dans une mesure non seu- lenf#nt convenable, mais syrabon- dante. (Luc. v. 38.)

L'Eglise le sait fort bien aussi: il n'est pas rare qu'un des deux époux subisse le péché plus qu'il ne le eom- met, lorsque, pour une raison tout à fait grave, il laisse se produire une pe“version de l'ordre, qu'il ne veut pas lui-même: il en- reste, par suite, inn-cent, pourvu qu'alors il se sou- vienne aussi de loi de charité et ne néglige pas de dissuader et d'é du pédt:é son conjoint. Il.ne faut pas non plus ‘accuser d'actes: Contre na- ture les époux qui usent de leur droit suivant la droite et naturelle raison, même si pour-des causés. naturelles, dues soit 'au temps, soit À certaines défectuosités physiques, uné nouvelle | vie n'en peut pas sortir. 1 y a, en effet, tant dans le.mariage lui -même| que dans l'usage du droit matrimo- uial, des fins secondes —— come sont l'aide mutuelle, l'amour récipre- que à entretenir, et le remède à, la concupiscetite qu’il n'est pds du tout interdit aux époux d'avoir er vue, pourvu que la nature intrinsèque de cet acte soit sauvegdrdée, et; 'sauve- gardéè du méme cotip sa shbordina- tion à la fin premiète. : G

Pareillement nous touche-t4} au plus intime du’ coeur le gémissement

IHDET El i CT à

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* d'ailleurs, selon ses différents défen:

Ant hccie dene

. fausses théories de l'eugénisme

Mais il faut encore, Vénérables Frères, mentionner un autre crime ex- trémement grave par lequel il st at- tenté à la vie de l'enfant, encore cai ché dans le sein de la mère. Les uns veulent que ce soit chose permise et laissée au bon plaisir de la mère ou du: père; d'autres reconnajssent qu'il est’illicite, à moins de causes ex- ceptionnellement graves auxquelles -ils donnent le nom d’‘“indication” médi- cale, sociale, eugénique, Tous exi- gent, pour ce qui regarde les lois pé- nales de l'Etat, qui tnterdisent-de tuer Fenfant engendré mais non encore né, tous exigent.que les lois de l'Etat re- connaissent l“‘indication”’ que chacün d'eux. préconise, indication différente,

seurs; ls réclament qu'elle soit af- ‘franchie de toute pénalité, Il s'en trouve même qui font appel, pour ces opérations meurtrières, à la coopéra- tion directe des magistrats, .et tout lc rannde sait, hélas! qu'il y a des ‘endroits cela arrive très fréquem- ment.

Quant à l'indication médicale ou hérapeutique” —. pour employer leur langage, —:Nous avons déjà dit, Vé- nérables Frères,- combien Nous res-

complissemenñt du devoir naturel -

pose à de graves périls pour sa santé, votre: pour vie-même; mais quelle cause, pourrait jamais suffire à exeu- en-aüçune façon le meurtre direct

v

prendre Le jubilé de Rrtere | d'une grande compagnie

sentons-de pitié pour'la mère que dus F

Un ommne- du. Manitoba ém-| PE Sp ; "+ | pparemamncen as surance-vie es aujourd'hui si popluhire aux yeux de “ploie” les pilules Dodd |,tous. qu'elle semble protégée contre les Buctuntique qui: règnent ‘dans ,les e" PEUT les: rognons : ( autres branches d'affaires. La compagnie d'assurance vie Sun Life, dont pepe rie -:1 le rspport finañcier parait sur une de: pages de ce journal, jouit de la con- M. J. Stasiuk est ive:saliitair + ac den 4 à Fe ps po Vo éi ee caen Que: pa: k montant , N polices-émises cette année qui s'élève à plus de $700 600,000. Çette somme 1 des résultats obtenus. : est la plus cons sidéra ble depuis la fondation de cét'te campagnie, il y «a Ashville, Mah.. 16 févrièr| soixante ans. : . (Spéciale) - “Je vous . écr écris! Celte année, la eompagnie célèbre » pour vous faire connaitre ce} 3e Rs sat à ar di à LES ê que les püules Dodd pour les | qui fait votr Yaugmentation des po! ee | rognons ont fait pour moi”, dit! ces en force. En 1880,-ce montant Jo ièk. deme ici. ! s'élevait à $4,600,000, et aujourd'hui qu üre ic “J'ai souffert du mal dos | !! #e chiffre à $2.800.000.000. Le rap- d J'ai port mogtre alssi l'accrotssement ce pendant longtemps! J'ai--em-| actif de 1a compagnie- de 506,000 en plogé plusieurs remêèdes, mais | 1880 à près de 590,000,000, au moment ils ne m'ont pas guéri. Un de L de pou faut prendre, en considération le paiement de plus d'un les Dodd vais cites les er demi-billion aux détenteurs de polices es pour les rognons. J Net aux bénéficiaires, somme qui sur- ai fait l'éssai et j'ai constaté passe le montant total des polices en qu'elles me faisaient du bien.! vigueur. il y a à peine 10 ans. Ceci J'en ai pris environ une boîte Le extraordiaaure,* mais il expli- é et fait voir la grande corfiance | Mes douleyrs sont disparues Ct} du public dans l’assurance-vie, comme .’ mon m + * dos est guéri. : je pläcement d'argent et protection pour suis très sfait Cu ces pilu-|la famille. les. ) Un point très intéressant du rap- C'est surprenant «d apprendre | port traite des placèéments de la com- combien de personnes souffrent | Prgnie ét : La _ EE : du mal de dos-et du rumatis-|J°U7s considéré comme de bons place- - ——— ménts l'achat d'actions de bonne qua- T. B. MACAULAY me. Cës gens souffrent parce | lité. Ces actions sont évaluéés le der """srénent ! \ Î qu ils ignorent een per il leur mer F. 300. es ausLad sand jar le dés. Sun Life Assurance Co. of Canada serait facile de se-guérir. Ren- : ET FF te forcissez les rognons qui sont la bartement ne e canadien. Inu- base du mal et les douleurs dis. tile de difé cette année qu' une telle paraitront: Les pilules Dodd évaluation ‘était obligatoire. Néan- pour les rognons agissent direc- moins, même No prix qui ré- -gnaient à la fin de l'année, les actions tement sur les ds : communes détenues par la campagne ee - - accüsaient tn gain assez consi pet re sur leur prix coûtant. De plus; les commande pas ‘de choses impossibles, videndes en argent payés en 1930 sur mais en commandant, il vous avertit les actions communes détenues par de faire €e que vous pouvez et de de- ‘la compagnie pendant l'année précé! man dente dépassaient de près de $1,000.- PE RE 1e.Æ ès aps 000 les dividendes payés sur les mé- et il aide à le pouvoir. (‘“‘Come. Trid!'} mes actions en 1929. Un tel fait, pre- __ :,; . sess, VI, c. XI.) Cétte même doctri-3 rente COMMRISPATTON TE PORTER du : ne’'a été, de nouveau, solennellement | pr à e mosene are D -

+ i 2 en faveur ce la sagac e la compg- conârmée par L Eglise ls: con gnie dans ses placements, taux damnation de l'hérésie janséniste, qui de 644% obtenu sûr la moyenne des avait osé proférer contre: la bonté de placements de la compagnie est une Dieu ce blasphème: ‘Certains précep- nouvelle preuve de sa florissante ad- tes de Dieu sont impossibles à obser- | pnistration.

Di Ea compagnie ,a annoncé que les: ver par des hommes justes, en dépit profits des détenteurs police qui ont de leur volonté et de leurs : efforts, drojt au partage deë recettes cette étant données leurs forces présentes: ARTHUR pen année _ HAT aussi ge aussi . , - réusement que les années passées e \ M-lour: manque Le pos Led ve) Vice-président-et caleutateur-er chef” "que les dividendes séront aussi con ù —. observation. deviendrait ° pos#l-| Sun Life Assurance Co. of Canada ‘tin és. .” (Const. Apost. “Cum occasione die’; 31 mai 1653, prop. L.) rss Le meurtre. des -innocents et les procurer des saisthe de stériité, et attribuant aux magistrats- une: faculté

si rien n'a réussi, de faire périr d’une certaine façon dans les entrailles de la mère, l'enfant qui y a été conçu: on veut que l'enfant meure avant. de vivre, qu'il soit tué Avant de naître. A coup sûr, si tous les deux ils sont

réunis non pour se marier, mais plu- tôt “per stuprum'’', pour assouvir leur Passion, sis ne sont tels tous deux, j'ose dire: ayt celle-là est d’une certai- ne manière la prostituée de son mari, ou celui-ci est l'adultère de sa fem- me.”-(S. August. “Le Li et concu- pisc.”, c. XV.)

Quant aux abservations'que l'on ap- porte touchant l'‘“‘indication” sociale et eugénique, on peut et on doit en tenir compte, avec des moyens licites et honnêtes et dans les limites requi- ses; mais vouloir pourvoir aux néces- sités. sur lesquelles elles “se° fondent en tuant un innocent, c'est chose ab- surde et contraire au précepte divin, promulgué aussi par ces paroles: “Il ne faut point faire le maj pour pro- curer le bien.” (Cf. Rom. TI, 8.)

Interventions abusives des -Etats

Enfin, à ceux qui, dans les nations, tienfient le pouvoir ‘ou élaborent la loi il n'est pas permis d'oublier qu'il

ppartient aux pouvoirs publics dé: fendre la vie dès.innocents par dés lois et des pénalités appropriées, et 7 d'autant plus que ceux dont la

ie Est En. péril et menacé ne peuvent se «fran eux-mêmes, et c'est ass rément le cas, entre tous, des enfants cachés le sein de leur mère, es, autorités de l'Etat n'omet: tent pas seulement de protéger. ces petits inais si; par eurs Inis et leurs fdéerets, fls les abandonnent et. tes :[ivrent même aux maïns des méde-

ent pi sd volet pong inno- cent qui, de la terre, crie vers Je ‘étel

telle est aussi Ja certitude que fournit .. re la lumière de raison. * ; AE 3 41 #4 cr ot gr ton Fa Je ie FE F y 1 à r Le

Puf le: let les nos

tels, ce,ne sont pas des époux; et sil dès le début ils ont été tels, ils se sont ,

©

[coins ou 'ankrer, Led qre couxrel lès

|qu' ils n ont jamais eue et qu'ils ne- peuvent avoir légitimement.

Tous ceux qui agissent de la sorte oublient complètement qe la famille est plus sainte que l'Etat, et que, sur- tout, les hommes ne sont pas engen- drés pour la terre et pour le temps, mais pour le ciel et l'éternité. Il n'est certes pas pefmis que, des hommes d'atlleurs capables de se marier, dont, après un examen attentif, on conjec- ture qu'ils n ‘engendreroit que des en- tänts défectueux, soient inculpés d'une faute grave s'ils contractent, maria- ge, ehñcore que, souvent, le mariage doivé leur être déconseillé.

Les magistrats n'ont d'ailleurs au- cun droit direct sut les corps de leurs

ts;_ils ne peuvent jamais, nipour .’ ah -d'''eugénisme'' ni pour. aueun autre genre de raison blesser et at- ! teindre directement l'intégrité. même du corps, dès lors qu'aucune faute n'a été commise, ct qu'il n'y a auéune raison d'infliger une peine sanglante. Saint Thomas d'Aquin enseigné Ja même chose, lorsque se demandant si les juges humains peuvent infliger du mäl’ à hoômme.pour prévenir: des maux futurs, il le concède pour qüél- ques autres maux, mais il le nie: à- bon droit et avec raison pour ce qui concerne la lésion de corps: “Jamais, suivant le jugement humain, persotne ne doit, sans avoir commis une faulté, 1.” être puni d'une peine meurtrissante; Nix én pe-peut le tuer, mi le mutiler, mt le frapper, (I #Sum. Théol.”, La, Ils q. C VI, 4. 4 ad 2m.)

Au surplus, les individus ‘eux-mé- mes -n'ont* sur les mémbres de idur propre corns d'autre puissance que a celle qui se apporte à leurs fins natu- ; relles; Als-né peuvent hi les. détruire, ni-le# mutiler; mi se rendre par d'a J tres noyens . rage leurs pacte ane DOBSi- ble. à Vourvoir rc 4 Fe du- corps entier, Le] est le ferme ensei- 4gnement de la. doctriñe chrétienne,

LS at. Pur matt antenne À minetE me

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AU SACRE-COEUR =

te Qéardéts-Hioures -— Prix d'entrée: $250 en or, à Mme L PERS AR j Les mettess di Vitrine A. eng PE gt ÉR . ] au plus tard le lundi soir, & |commmencées dirianche dernier ter- mr É rañe s brures. gi -|minérent hier matin. Le R. P. J. eee: D ne Maÿnan, OGM... provincial, chants la Termiions ce compte rendu avec 1e |, à PR TE UE A ee a ne MSA à ee ce M PTRIR-VANEUR . 08.59 la sentiment de gratitude. : Merci à tous | 1 de. 60 livres. mie en chaudières de | messe. d'ouvérturé; nos sociétés figu- | < Kadrinnr à Maison Sata: | rérent dupe. ix [procession avec. leurs les donateurs et donatrices en géné |! \ 22 Rues ocremmnh ac SEP à ral, à la Pharmacie Préfontaine et à 4

+ da insignes. Le soir, au cours de l'heure LA LE: _ Mens 4 dd de. « 1929, rs d'adoration solennelle, ji] y eut ser- Brdan. { Mie medlle #75 mon par WA P.3:B Beaupré, O MT. 0 D rpé ces modble 1928, L'intention spécialement recomman- se - Téléphonez-nous. pour une dé-| 45e à nos fidèles, durant ces heures! qui sas exception apparemment, s'en tranon ou plutôt Venez nous voir 4 pu aid avec ‘retournèrent si enchantés. Grand e prières bliques, vies grande piété. fut-le meëès-de in pro-fmnerci à Met à Mme Dr Michaud.

votre garage. Vous serez convalineu sont de Mables cecasions Sur ce, nous en un chaine retraite paroissiale. reves groupe ne Lijué soit à jamais Jésus au T. 8. de demoiselles, dévouées à notre église

Costant, “ver Mariés. * ua ASDE des hommes et des Meg, ave benne, ets | sacrement! nt CUS ES DR Ée pour ventes parmi vos arms Ouverture du . ut gi 1 aq À #4 lpnter À 400. nremse Portake, de 19! Ce malin, la cérémonte du meréte-| rie Le mur nier £ Hi des Cendres ouvrait solennelletnent Le Rs nd se ns 2e ven fou à | Houliangerie rernié vA . beiodos. Mopne ange le teinpfile la sainte quarantaine.

ns ‘un village possédant deux | Ce soir, autre rendez-vous à l'église, diodiffusion papale appartiennent à

amples ormations. wa |autre imposition des cendres, auté| l'histoire Sa Balniets. Pis XL ris

Jetté, Meyronne, Wash. A t ten-| Slorieusement régnant,, célébrait, le DT Un "1 jeudi 12 février 1981, le neuvième an- niversaire de son touronuement; À Ia |

Tous les mercredis soirs, il y aura, Chaussu- ‘Ouvrage de | à 7 h. 45, réunion paroissiale à l'église même date, le Souverain Pontife inau+

la coinpagnie Gaspard, en particulier. Merci aux amis venus des peroisses environnantes, À tous ceux et celles

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4 fdheés = Sarôià et Charbon dur, le hat 1 rbon mou et le coke E

L'ACM E à un Re de ne puissant, qui garde le **ehiez a

LA ; s , æ4 À , # soi”? à uné température confortable, dure des années 6t dont

4 F- s | le chauffage coûte très peu. Elle brûle le charbon dur et le ehar-

. bon mou Elles ‘adapte une manière spéciale à l'usage du res faites sur

Que faite Hépa ra - - gurait le poste émetteur HVJ, de la < ne visite cat [du Sacré-Goeur. . l'Oue | ions de harnais bn: 7 dense | En6 Vaticons. Q bien d'autres | R charbon ou de l'Ouest ou du coke. Métiaineitie de la ipauerte. Céém ue 18" five Mare FR ère D lee me et un sd ' « 4 cquerie CA LLE? É 6 , na tte ireeer See | Lily, enfant de Casselman Ness et de

d'invités, réunis à la Maison du Sacré- Coeur, 597, avenue McDermot, étaient aux écoutes et euretit le bonheur d'en-

evétatre-Trésorier. Municipalité , de Marie-Jeanne Montpetit. Le parrain PRrogmerte, La Broquerié, Mana.

_——. et la marraine furent M. et Mme Jo- En. fait d'apparence, l'Acme. réunit tous les derniers

Trés. 201 ta

mn porrune, nation | er payée fer Le, | RQ Ron tendre, parfois bien distinctement, la perfeétionnements ‘de la fournaise ‘moderne. Elle cest : MR res sine. Prog Mari HE BienVeque à Mme JE. Perrgs et|"°* Cu Très Saint-Père. Parfois, di- | mifmee. Tél. LS ne _ à ses enfahts, arrivés la semaine pas- | *°25-nOus, car l'audition fuf loin d'é- faite e: itière ment de maté riaüx de première ans lité. Le FO UE tous manga mm [sé de Raven, Pronge o [te ccelete au eur qua du tôyor-est d'ane besantèin çreus ive of divisé en sections y 175, ave. Provracher, saint nonitage. | Québec. M. J- Perras occupe la ) j

| position de secrétalre-trésorier de la, gés embarr lent en quelque porte

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s, au bureau voies électriques; toutefois, ils sai-

AS tière à prévtnir gondolage. A LOUER Huites modernes de"3 vt| compagnie Kéviflon F © ane Bonn ponnaecr a [de l'administration génêrue, récem-| "rent en RSTMER Paroles de pauhalls 110, + her, Smtnt-Domif t installé à Winni La S © LITE 21 80e, nt EEE ki hate ‘| rit pa pes: série des allocutions ,suivantes

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En visite

dans les diverses langues, eut une G L : , ; D Po er lnotypiste au réception radiophonique beaucoup plus

vorable, même parfaite à certains mèments; nous n’avons perdu aucune

+ ,# : > Les grilles s'enlèvent et se remplacent facilement. Toutes les parties qui demandent un nettoyage sont faciles à atteindre. Un courant d'air chaud empêche les gaz de -cireuler avec la éhgleur. La

journal, le “Patriote de l'Ouest”, est venu passer quelques semaines au lieu dés siens. Le jeudi 12 février, reprenait le train de Prince-Albert. La Société Saint-cean-Bapiisie Du 17 au soir, de la partie, de cartes de mardi gras, attendons le rapport. Du 24 au soir, de la soirée de mardi prochain, un mot: Veuillez concourir

fournaise est munie d'une soupape à tirage une nouvelle invention. Téléphonez département

des poêles et le re présentant. d'Eaton se re ndra chez vous et vous fera un estimé sur l'installation dè- l'Acme. Ù Li

syllaDe de la premjète allocution fran- aise; à coup{sûr, les mots “Urbi et rvinrent -distinctemént | FQ les orateurs l'eurent

sur les lèvres. De plus, grâce à Na courtoisie des | [A

administrateurs de :a compagnie «ie j

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CHAMPIONS de MILLER

à son succès.

. ju la Baie d'Hudson, qui seulement Æ enr NOUVEAUX PRIX BON MARCHÉ : ‘véterives au‘ourd'hui ir mot è Sr ner rie) 4 u DUR ang an rent ae a | ù lus de la pour leur initiative et leur dévoue- : ' “vi t E LLA L f A LOTS Me bonsée erntéee se |inent, pour leur attrayante soirée et} ne beces nr ru se * Aÿoi 4 rover et chambre à com-___: Avecfoyet-et chambre à com-- "Avec foyer et chambre à ont: a = "ps rite NE COUVEUSE teur succès si réjouissant, Adressons : , Aa " , 90, . ‘bla 9: : 4 MARTFORA nos félicitations et nos remerciements; on _. mg rm Luc À ; Eu de 18 pouces tible de 20-pouces -bustible .de 23 pouces d E. 8: Miller Hatcheries de pareïls successeurs dans nos orga- interrompet, à me Ÿ L : r.. de | : s | AUE MAIX > WINNIPEG | nisations hébdomadaires de parties ts. di garer nc ? J : ; = mire de oartes font l'objet de nos voeux, AM te a encllenes Æa | | ( LE NOUVEAU | | m" hirrapad + spnpen ment de 90 que d’autres parties de ce premier pro-| ER: woeurs à "nos lèvres, que dis-je, voya- pa ponti irradié au 'moride | Æ Ne P : à N : * à à AT sn ê AFE OLYMPI A grant à 1 sde ces à l'autre comme pren qu die manne 1 LU | aieme dits à termes pie ay ce “fix additionnels équitables. , : de In ville à I _nous restera plusieurs bribes enregis- 4% Nr 74 EE à à "6 2 EX A F Section: poéles, Sms Lit il : er mollieurs s'Francaise Notre salle paroissiale eut- tout jus trées par l'aiguille d'un “Victor”, et FN Fe % he 4 LR h, | on els | Etage,

te lys dimensions nécessaires pour

abriter les deux camps: celui du whist donc faciles à reproduire au. gramo-

{ 208: RADALS, çé phone: ce sera l'HVJ chez nous. Re-

425, avenue Portage (vis-à-vis Eaton) |et celui du bridge. La qualité des D RS prix sauta aux yeux de tous; six deux rares nd je: puissante compa- | Heures de magasin, piastres et demie en or, huit aûtres à 8h. 50à5h 30 > Oyez! Oyez;: 4 NN - magniques objets et, pour la rafle, un Le I À ,MIM y compris le Canadian Coal Sales Co:Ltd. $5. Le goûter fut nôn moins abon- d' a ss" très avantageux ITED 2 samedi: 850, rue des Meurons, St-Boniface || dant et apprécié que d'habitude. Le hotrifeopioes ri cal d 1 Ge programme musica! consista en chan- À Sn Ru sons accompagnées au piano; l'on nous aa vous avais promis plus. @e. &- # minable raies en voudra peut-être de publier ici “À n'y manquerel pes. + à noms des artistes, mais peut-être aus- hors ses tite amies Jess) si a sique non, cèr, enfin, élles ont, eu | "Per" 4 sit, gr dans el: | question au désarmement: ce que peut | dans la-famille et quand l'un de nous : RS cm, [l'hommage de vifs applaudissements: es 1 ge | adiconque ÿ 84 |ont"bien voulu aussi p faire le Canada. ne se sent pas bien il prend une ou SEE alors, merci aux demoiselles Alice La- Da ol Ve rermt ag gs pr F3 22 |cieux concours. è + 0 deux doses de Novord et {1 va vite : 1 \ &Co Ltd. trance et Yvohre Thorimbert, ainsi me de gran no phone Les membres ou autres pe} pat pérdu foi aux remèdes | mieux", écrit M. M. Siholak, de New- Rai qu'aux dames G.-M. Läflèche et E. Le sm même, à à < Pédértion des Fémmes Ca-|désirant se procurer des. billets “Depuis longtemff$ je souftrais de dou- | ton, Ohio. Cette fameuse préparäkion : Belair. Quantà M. Je Dr PE. Laiè. |es#ÿals parfois d'y comprendre quel ce concert pourront les obtenir. 4 Wa | jours dans l'estomac , à.base de plantes jouit d'une réputa- Magnifiques chapelets en que chose, et au moment:oû je croyais| *, nadiennes- res-Françaises. | | Een en names Mndt-icgecve-e Ÿ pe che, il exerça ses, fonctions de prési- eaiei Étosinnt | porte de l'église du Sacré-Coeur, le linents centre lesquels aucun médica- | tion bien méritée, remède pour or et en argent dent de la soirée, avec dignité, habi-|°®#i#ir Plus clairement, la porte s'est dimanche 22, ou bien s'adresser à ne me procurait de soulagement. |l'estomac; elle augmente la n leté et gaieté. Vous vous intéressez cr eme © n'était plus Dimanche prochain, 22 février! an | mes Geo. Lafèche, 591, rue-Willara, | digestive, améliore l'appétit et tua + | Articles de Mission [[sans doute à sa liste de surprisès; 1 | imPs que rofdper, Je mur vote M, À 8 Li 00 Ga ge mn PAS, A à J.-B:-Poitrag, 181, rue Masson, et ‘à l'assimilation. Ce remède ; Notre re mpécianité;. | vol: se : de sur ne mon air trahissdit ia |nipeg, un conkert FRA per re TT: Fetes $Saint-Bôh1- avoir emp Fr : u whist:.lers prix, e J.-R. Bru- culpabi ace. ; maceutique.. Ecrire Æibratries de Pa er ru neau et M. Emile Pierre; au bridge: LAC LG et dire les as de ares. rney & Sons LU naine DR ca des __ Me Dr sa Jatreige. st ils mont nds der * néi-t PETITES N NOTES devenu ; plus: fort.'Bl : Washington Bivd., Chicago, IL ve M - J. Sala; à ces quatre gagnants, “Aç'est bien: une, séance qu'ils prépa . | qu'auparavant. us Livré exempt de douane au VIN DE MESSE des côtouex [| °"aeun un 52.50 en or. De plus, eu LS om 2 a comédies Mme Victor Rôbillard, 42, rué Fur- Li oi 4 rite whist: 2èmes et Sèmes prix, Mles W.|""t: purs es d'un acte chacune. L'une by, est cle retour ‘d'un voyage de trois |: Sullivan et 8. Morrier, MM. À. Mahé 7 semaines à Walhalla, N. Dakota: et S: Hill . Prix de consolation, Mme t établie .. _ solidement. établie Nous sommes heureux d'annoncer Ë - Annette Dostert el, Kathleen que M. Victor Robillard, 42, sf Prtg.

en Etsell, M T, Hubicki,

et le tro F ignold. ‘Une qui. vient de pagèer | intitulée: *1

l'hôpital de la a cas d'infuente, prend maintenant le seen er ee me

Damas, Jeudi 8h. du ser, aie

2 Boutal et M. J. Delavignette, acteurs, re le pen est déjà

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